Ta bouche est comme tes yeux, elle a le pouvoir de m'hyponitisé. [Aria Solal/Alucard Lamia]

Aria était rentré pour attendre. Même si elle avait la boule au ventre que justement il n'y est plus rien à attendre! Deux jours qu'elle était une boule de nerf qu'un rien pouvait énervée. Elle avait prit de quoi s'occuper au salon. Sinon elle devrait casser les vitres pour passé le temps et ne pas se retrouver face à une réalité trop cruelle à son goût.

Aria s'était donc assise sur un des nombreux canapés rouges du salon. Elle avait prit un verre de sang et s'était mis à faire ses occupations. Elle avait emmené une liasse de document dont elle devait s'occuper depuis un bout de temps déjà. Un ami vampire ,resté au Japon, lui avait demandé de lui détaillé tout les mouvements d'une danse. Bien que lasse Aria le faisait pour occuper son temps trop creux.

Elle traçait les lignes et les courbes de l'écriture japonaise. Ça l'ennuyait! Katsuru le ferait toute seule comme une grande! Elle posa son pinceau sur un morceau de papier. Elle ne les rangea pas. Elle finirait pas revenir dessus! Elle se rassit plus loin sur un fauteuil cette fois.

Aria dessina du bout de l'ongle les dessins de nuages dorés sur la soie orange de son kimono. Elle arrêta, se craqua les doigts, alla chercher son verre et le fini cul sec. Elle le redonna au serveur et se tourna, stressée, vers les fenêtres.

Alucard marchait a un rythme plus que soutenu vers Bloody.

Aria. Voilà tous ce qu'il voyait, tous ce qu'il pensait. Son corps tout entier transpirait de sang. L'odeur métallique de la chair découpé montait dans l'air et s'envolait vers le ciel comme un gaz de purification. Il devait se dépêché et le plus vite possible.

Si un chasseur traînait dans le coin il ne tarderait pas à sentir son odeur puis venir le rejoindre et le décapité sans sentiment. Les jambes cinglé par les branches d'arbre qui cisaillaient ses chevilles avec une force qu'il ne connaissait pas jusqu'ici.

"Aria aide moi"

Il criait intérieurement, les yeux mis clos. Ses lèvres étaient sèche et craquelé de par et d'autre comme un vieux pain oublié dans une niche. Les poumons en feu, les yeux rouge du au manque de sang, il voyait rien. Tout était embuée et brumeux. Pourtant il ne l'avait pas vu.

"J'ai échoué"

Trois jours. Trois jours, qu'il courait qu'il observait, qu'il pistait mais rien. Pas même une trace de son passage. Les extra-terrestre avait du l'enlevé ou pas...

"J'aimerais savoir ou tu te cache pour t'arraché les tripes"

Le bâtiment commençait à se dessinait devant lui. Sans s'en rendre compte il accéléra le pas, jusqu'à courir mais très vite sa fatigue le rattrapa et il s'écrasa au sol inconscient.

- Je t'aime...

Aria regardait la forêt que lui présentait la fenêtre. Elle regardait aussi Alucard qui était revenu et qui était tombé par terre. Elle haussa un sourcil sans aucun sentiment dans le regard. Elle tourna la tête vers un des humains de la pièce. Elle lui expliqua qu'il fallait le ramené ici.

Les humains soupirèrent mais le ramenèrent tout de même. Aria leur fit signe de le mettre sur un canapé. Elle regarda son état. Pitoyable et c'était faible. Elle s'assit par terre à côté de lui en appui sur les genoux. Elle soupira et lui prit le poignet. La geisha n'eut pas beaucoup de pitié quand elle le mordit. Encore une fois, comme dans les bois, elle lui donna de son sang pour le remettre sur pied.

Aria enleva ses crocs et s'essuya la bouche avec un air satisfait. Elle se redressa et se remit entre ses papiers. Elle continua sans s'occuper d'Alucard vu que les humains le faisaient. Elle avait fait le minimum. Le faire survivre! Il se remettra du reste. Elle préférait le voir éveiller que à l'état légume.

Aria trouva ses papiers plus intéressant d'un coup. Elle s'était fixé de lui parlait que si il l'appelait. Pour lui laisser le temps de se remettre et pas le forcer. Elle releva la tête et regarda les humains.

-Donnez lui un verre! Il va en revouloir!

Elle leur sourit gentiment et reprit son travail.

Alucard senti un liquide chaud couler dans sa gorge.

Du sang. Encore ! Il en pouvait plus de cette odeur. Mais il ne trouvait pas la force de riposter alors il laissa le liquide rouge s'étandre dans sa gorge et lui brûlé les entrailles. Il lui faudrait bien une dizaine de minute avant de pouvoir se relevé... alors pour la riposte on verra plus tard.

"Aria..."

Son odeur était partout dans la pièce et pourtant il ne sentait aucun contacte sur sa peau. était-il devenu un légume ? Lui avait-on arraché les membres ou tous simplement était-elle pas ici dans la pièce ? Peux être était ce une hallucination ?

Une chaleur puissante monta jusqu'a son cerveau comme un tapis rouge que l'on déroulait sous ses pieds. La force lui revenait, il ouvrit les yeux.

Un verre. Un verre remplis de sang. Voilà sur quoi se posèrent ses yeux. Il reste immobile pendant un temps cherchant à comprendre pourquoi à la place du verre ne se trouvait pas Aria. Et surtout qu'elle genre d'humain sans humanité pouvait avoir cette idée suicidaire de lui tendre un verre de sang.

Il soupira pour commencé.

D'un geste des plus rapide il envoya valsé le verre à l'autre bout de la pièce. Le regard froid il attrapa l'homme à la gorge et lui cassa la nuque.

- Idiot !

Un cris de rage plus qu'un appel de désolation.

Il se courba au dessus d'Aria, regardant ses documents qui apparemment étaient plus intéressant que sa santé.

- Je vois que j'ai pas du te manquer, merci de t'être inquiété surtout !

Sa voix était dure et sèche, il avait faim.

Aria grinça des dents et se releva. Elle lui sourit méchamment. M'être inquiétée? Absolument pas mon ange! J'ai juste but comme un trou dedans deux trois jour et j'ai essayais de combler mon manque par des occupations! Elle se craqua les doigts. Elle devait faire quoi? Lui en retourner une pour qu'il comprenne?! La geisha regarda les humains et leur accorda d'un signe de tête la permission de sortir. Se qu'ils firent dans la joie! Une fois les "plus faibles" dehors Aria se dirigea vers la fenêtre et l'ouvrit. Elle montra le sol du doigt, la colère dans les yeux.

-Et bien vu que tu étais si bien en bas entrain d'agoniser retourne-y je ne te retient pas!

Elle ne criait pas. Elle avait une voix sèche et pleine de colère froide. Elle serait la poignée de la fenêtre fort. Pour se retenir de ne pas allez achever se qui lui servait d'amoureux. Finalement elle lâcha la pauvre poignée et alla à grand pas vers l'argenté. Elle lui prit la tête entre ses mains et visa ses yeux dans les siens.

-Tu ne m'a pas manquer! Tu m'a rendue folle à t'attendre! Je ne me suis pas inquiétée! J'ai pété les plombs! Je n'ai pas bu pour oublier! Je me suis vidé je ne sais combien de bouteilles! Je n'est pas été hystérique! J'ai été folle comme jamais! Je n'ai pas cru te perdre! Je cauchemardais sur ta mort!

Elle aurait pu énumérée d'autre chose... Tellement! Aria le lâcha sèchement. Elle s'écarta de lui en le regardant avec dédain. Aria se tourna vers ses feuilles et les prit. Elle les rangea dans l'ordre et alla vers la porte. Elle allait partir! Sa colère lui disait de s'en allez! Elle lui hurlait de le laisser en plan comme il avait fait pour elle! Mais Aria ne pouvait pas le laissé comme ça... Elle posa son front contre la porte froide et ferma les yeux. Pour se calmer.

Les mots d'Aria lui raisonnait dans la tête comme une chanson mal chanté, toute ses paroles sonné pourtant juste, elle lui avait sauvé la vie.

Il ne pus se résigné a la voir partir. Sans perdre une seconde ni même sans réfléchir il se jeta sur elle, la plaquant contre le murs, leur deux corps collé l'un contre l'autre, il la regardait dans les yeux. Il sentait son souffle déferlait sur son visage comme une poussière de fée un peu trop fine à son goût. La voire là devant ses yeux, la sentir sous ses doigts le faisait peu à peu chaviré dans la folie. Quelle genre d'homme pouvait laissé sa femme prendre la porte alors qu'elle venait de lui sauvé la vie ? Surement pas Alucard.

Son coeur battait à une telle vitesse et avec une telle force qui pouvait comptait chaque battement sans avoir besoin de se concentré. Un rythme à la fois pleins de douceur et de force. Il se rapprocha d'un pas, collant son genou être les jambes de la geisha. Leur corps ne pouvaient pas être plus proche et plus serré, non sinon il lui aurait fait mal et c'était là la dernière chose qu'il cherchait. Il voulait juste montré sa virilité.

Elle était tellement belle habillé ainsi même si ses lèvres avaient l'odeur acre de l'alcool, elle lui avait tellement manqué qu'un seul soupçon de douceur venant de sa part l'aurait emmené tout droit au paradis et a l'extase. En parlant d'extase, son sexe commençait à se durcir et son pantalon devenir trop étroit. Peux être étais-ce du a leur proximité ? mais si cette question était une réalité propre elle mérité d'être tout de même posé.

Son souffle commençait à se faire haletant tendis que l’excitation des retrouvailles s'amplifiait. Il n'avait jamais vécu un moment si intense, la seule chose qu'il désirait était là a quelque épaisseur de tissu sans grande importance. Ses lèvres se rapprochèrent doucement de celle d'Aria, sans pour autant la quitté des yeux.

- Je vous aime mon amour.

A peine sa phrase terminé, il l'embrassa avec fouge, lâchant ses poignets pour attrapé son visage en coupe. Il n'attendit pas sa permission pour infiltré sa bouche avec sa langue mais il le fit avec douceur et franchise, il ne voulait en aucun cas la brusqué !

Il la prit par les hanches et la fit tourné autour de lui pour prendre sa place. Maintenant il se retrouvait dos au murs et sa femme devant lui.

Aria se demandait franchement une chose. A part le cadavre il n'y avait plus personne dans la pièce alors pourquoi il était si lunatique? Non mais vraiment! Mais bon! Au moins il ne l'avait pas laissez partir c'était déjà ça! Elle avait mit sa main sur le cœur de l'argenté. Et whoua! Elle lui faisait autant d'effet que ça? Ça l'étonnait sans plus. Après tout c'était normal! Ce n'était pas le premier à être excité en la voyant! Et encore ça lui paraissait assez excessif. Aria soupira intérieurement et se dit de profité un peu au lieu de se prendre la tête comme souvent.

Elle trouvait qu'il avait un gout métallique mais bon elle c'était surement pas mieux! Et... Oh mon dieu! C'est quoi ce qu'elle sentait là? Non! Il était quand même pas entrain de bander alors qu'elle était habillée? Elle rigola dans sa tête en se demandant que quand il la verrais sans son kimono se que ça ferait!

Aria le laissa continuer son jeu dans sa bouche et le regarda se retirer. Pour une fois que c'était pas elle qui le faisait! Elle rouvrit ses yeux qu'elle avait fermé au début du baiser. Elle lui adressa un sourire aussi franc que rayonnant. Elle monta sa main jusqu’à sa joue et la caressa avec douceur. Mais comment il lui avait manqué! C'était tellement agréable de le sentir tout contre elle et a elle que l'imaginer mourir toutes les nuits! Elle laissa échapper un petit soupir d'aise.

Aria enfouit sa tête dans son cou. Elle se réapproprié l'odeur de son aimé. Ah... C'était si bien si parfait si on oublié le gout métallique et les blessures! Elle resta encore quelque temps dans son cou et fini par relevé la tête. Elle passa sa main dans ses cheveux tout argenté.

-Je t'aime aussi! C'est dingue ce que je t'aime! Je suis tellement heureuse de te revoir!

Elle lui embrassa doucement le coin des lèvres.

Le son de sa voix résonnait en écho dans le crâne du vampire, comment réussissait-elle à entré en lui avec une telle force ? C'était comme ci sa voix prenait la place de ses pensée... Chose en y réfléchissant bien qui était pas juste improbable c'était surtout impossible.

Mais elle était enfin là dans ses bras, son odeur de femme fatale parfumé au soleil levant lui rappelait leur début. Couché sur l'herbe fraîche sous l'ombre pâle des arbres, voilà le lieu romantique ou il avait succombé à son charme chose qui a la base était pas prévus. Non, mais sérieusement vous en avez vu beaucoup des hommes choisir une femme qui venait de tué une partie du peuple de foi ? Devant une église de sur fait !

C'était ça qu'il aimait chez elle, sont hystérie qui la rendait si...si sauvage et attachante. Ce jour là, il aurait pus aussi bien la prendre dans ses bras pour lui faire l'amour que la décapité de sans froids et sans aucun sentiment. Son caractère lunatique était surement dans quelque chose là dedans ! 


"Une seule femme peux changer un régiment d'homme tout entier..."

Quelle parole bien sage et vrai ! 

Mais dans le sens honnête bien sur même si on le sait tous les femmes sont hypocrite, manipulatrice, menteuse et tout un tas de chose encore mais elles au moins elles ont le mérite d'avoir une personnalité ! Les hommes eux sont juste...un corps, un sexe et des yeux. Un cerveau ? Oui si il est placé en dessous de la ceinture et qui est divisé en deux boule distincte. 

Alucard eux un sourire de satisfaction quant de sa frêle bouche Aria embrassa sa commissure. Oh que oui ça il l'aimait et d'ailleurs si il avait pas été blessé il lui aurait montré par bien des manières mais calmons les hormones pour le moment ! 


- Dis j'ai un question courte et sans intérêt à te poser.

Il se dégagea de l'étreinte de sa bien aimé et repris un air sérieux et sans émotion. Assis sur la table basse, il la regardait de ses yeux félin en rûte.

"Que c'est dure de contenir sa nature quant on a une si belle créature pour femme"

- Quelle est ta taille de bague ma chérie ? 


Sa voix était dure et cassante malgré la délicatesse et l'intention qu'il portait pour sa réponse. Elle allait sans aucun doute deviné ses attention mais il trouverait un moyen une feinte pour la décontenancer.

Aria sourit dans sa tête. Elle trouvait ça bien injuste de garder ce sourire que pour elle donc elle le laissa se dessiner sur son visage. Elle s'approcha de lui avec douceur. Elle le poussa gentiment pour qu'il s'allonge sur la table. Une fois cela fait elle s'agenouilla à côté, au niveau de sa tête. Elle lui fit des petits ronds avec ses ongles sur la zone entre la fin des épaules et le début du cou. Elle savait, par expérience, que il frissonnerait ou autre mais Alucard n'en resterait surement pas indifférent.


-Pour répondre sans y répondre je te dirais que les mariages au Japon se font sans bague! C'est typiquement Européen de se mettre les anneaux au doigt!

Elle se redressa et se mit derrière lui. Elle se courba pour le regarder dans les yeux bien que lui allongé et elle debout. Elle releva ses mains et enleva tout ses ornements compliqués avant de les jeter sur un canapé. Elle passa ses mains dans ses longs cheveux pour les démêler bien que ça ne serve à rien. Elle se baissa vers le visage de son aimé en souriant.


-Bon allez je suis gentille je te fais pas tourner en rond! Je fais du cinquante et un!

Aria posa sa tête sur la table et près de l'oreille du garçon. Elle lui souffla doucement dans le cou. Elle rigolait bien dans sa tête. Maintenant qu'elle l'avait fait s’allonger sa "bosse" se distinguait encore plus! Elle ne put s’empêcher de rire un peu. Juste un petit rire gêné. Elle ne trouvait ça ridicule mais c'était gênant dans un sens. Enfin dans le sens de la grande et réputé pudeur japonaise . Bien qu'elle faisait des efforts pour qu'il n'en subisse pas les conséquences des fois ça lui sortait tout seul. Et s'était une de ses fois!

Loupé !

Elle avait pas tardé a deviné, il ne lui manquait plus cas trouvé une excuse ou une feinte pour ne pas qu'elle sois au courant avant qu'il ne fasse sa demande. Ce qui le rendait mille fois plus stressé. Une demande n'était pas facile à faire mais en plus quant votre bien aimé vous sort qu'elle est au courant ça devient tout de suite beaucoup plus dure. 

- Tu aurais pus faire semblant de ne pas t'en douter tout de même ! 

Ses mains étaient devenu humide et sa gorge sèche. Il n'avait plus le choix il devait lui dire, même si ça avait perdu tout son charme. Malgré lui, il se releva et s'assis à côté d'elle les yeux baissé, rivé sur la table basse.

Un million de question se mêlaient dans sa tête comme : 

- Quelle mot serait le plus juste a employer ?
- Es ce qu'elle lui en voudrait de ne pas avoir été assez discret ?

Aussi futile cela puisse paraître c'est question lui paraissait importante. Il ne voulait pas quelle croive qui était un homme sans valeur alors quitte a passé pour un idiot, il valait mieux le faire avec honneur !

Il se releva et s'approcha d'elle. Il resta un moment a la regardé sans un mot. Elle était belle, magnifique même !
Alucard mis en genou à terre et lui prit la main.

- J'avais comme objectif de t'offrir la bague avant mais puisque tu ne m'en laisse pas le temps...

Il planta ses yeux dans les siens.

- Aria veux tu devenir ma femme ? Me permettrais tu de passé le restant de ma vie en ta présence ? Aria veux tu m'épouser ?

Aria se retient de poussé un petit cri entre la joie et l'amusement. Bien sûr ça aurait été plus "normal et mignon" que elle ne le sache pas mais c'était si adorable! Elle ne tenait plus en place dans sa tête mais elle restait toute statique à l'extérieur. Après tout ça serait surement mal vu si elle sautait de joie et rigolait tellement elle trouvait ça adorable! Elle respira un grand coup en fermant les yeux histoire de se calmer.

Aria rouvrit ses yeux doucement en souriant. Exprimant librement sa joie. Avec sa main libre elle lui caressa la joue.

-Tu m'étonne mon amour... Tu me demande ça comme si j'avais le choix...

Elle se releva et le regarda en plissant des yeux. Mais oui imbécile! C'est quoi ces questions inutiles?! Elle se pencha sur lui et lui embrassa le front. Puis les paupières, les joues et enfin la bouche. Elle s'était mis sur ses genoux, histoire de faire à peut près sa taille bien qu'il la dépassait de loin quand ils étaient debout. Aria lui avait fait lâcher sa main et avait pris son visage entre ses mains froides. Elle resta là un instant assez long et se retira, les yeux brillants.


-Mais oui! Bien sûr que oui! Arrête de t'en faire! Tout va allez pour le mieux! J'ai pas besoin d'une bague pour savoir que tu m'aime! Bien sûr que je veux faire ma vie avec toi Alucard!

Aria le prit dans ses bras, écoutant son cœur qui frôlé le mille à l'heure... Olala elle l’adorait s'était parfait! Elle faisait des petits cœurs avec son ongle sur l'habit de son futur mari. Oh! Mais elle allait dire "on" en parlant d'eux! Adorable! Ça faisait longtemps! Elle ne dirait plus "je" mais "on" et elle trouvait ça juste trop mignon! Aria releva la tête et le regarda dans les yeux. Elle avait pleins de paillettes dans les yeux.

Alucard ne suis comment réagir.

Il regardait dans le vide se demandant si il avait bien entendu un "oui" où si il avait juste imaginé la scène. Tout était venu si vite qu'il en perdait le fils. Serte il aurait préféré une demande plus...romantique mais dans le monde des vampire le romantisme est comparable a robin des bois, ce n'est qu'une vulgaire légende que l'on conte aux jeunes filles pour qu'elle se marie plus vite.

- Je...je...

"Ne sais pas quoi dire"


La vie est peuplé de mystère, l'amour est le plus grand.

Il passa sa main dans le dos d'aria pour la collé encore un peu plus a lui. Oui, c'était sa femme, sa femme pour toujours. Il devrait supporté sa mauvaise humeur, sa mauvaise fois (NDA: clin d'oeil), son hystérie et encore pleins d'autre chose mais ce qui était sur c'est que tout ceci était très mince par rapport à ce qu'il ressentait pour elle. A l'intérieur de son coeur c'était comme un feux d'artifice sans artifice.

- Je t'aime.

Aria soupira. Il l'aime? Ouais elle savait déjà! Pourquoi il fallait qu'il le répète autant? Il en était pas sur ou quoi? Elle le poussa et se leva. Elle reprit ses ornements et se rattacha les cheveux. Elle sortit de la pièce en le laissant complètement en plan.

Aria cherchait un des humains. Elle en aperçut un qui fumait à la fenêtre ouverte. Elle lui demanda un verre. Il soupira et l'emmena dans une salle. Il lui donna un grand verre plein de sang. La geisha le remercia, prit le verre et retourna voir Alucard.

Elle revient dans la salle en buvant une gorgée. Elle planta son regard sur l'argenté toujours dans la pièce. Elle s'assit sur le sofa en face de lui. Aria finit son verre et s'essuya la bouche avec le revers de sa main.

-Bon! Passons à autre chose que ce sujet mou qu'est le mariage!

Elle regarda son verre et le jeta en soupirant. Elle se tourna et se retourna. Tout de suite ça gâchait tout de parlé d'une vie future! Et puis franchement Aria était septique.

Après le mariage c'est quoi? Une maison à deux? Mouais... Un bébé? Surtout pas! Elle frissonna de dégout à l'idée d'être maman. Elle le savait! Elle n'avait ni la patience ni l'envie d'avoir un enfant! Même de lui! Les bébés la répugnait!

Alucard poussa un grincement de dégoût.


- Oublie ce que je viens de te dire !

Il se leva en renversant le table qui était en face de lui. La réaction d'Aria l'avait mis hors de lui. Comment pouvait-on parler du mariage comme quelque chose de mou ? Le mariage était pas mou, il était beau et remplis d'amour mais pas mou !

Ses crocs étaient sortie. Il avait raison depuis le début, un vampire était un animal froids et sans coeur, rien ne l'intéressait a par sa petite personne et le sang ! Son égoïsme il ne l'avait pas vu jusque là mais maintenant ça lui sautait au yeux. 


- Tu n'es qu'un monstre ! j'étais juste trop aveugle pour le voir !

Le gorge serré, il se jeta par la fenêtre. Au fils du temps que le sol s'approchait de lui, il revit les moment qu'ils avait passé avec elle, bien qu'elle est des apparences d'ange son être entier était moisi par la transformation. Elle avait tué des dizaine de personne juste par plaisir et lui il était tombé amoureux d'un de ces monstres.

Il se promis intérieurement de tous les abattre.

Aria se releva d'un impulsion et se pencha à la fenêtre. Elle avait tendu le bras pour le rattraper, chose réussie, mais il était pas léger! Elle s'appuya sur ses coudes de manière à ne pas le lâcher. Elle fit la moue. Elle lui avait prit le poignet comme ça il ne pourrait pas la lâcher de lui même. Pourquoi elle ne prenait jamais le temps de choisir les mots justes?!

Non pas mou! Elle aurait du dire connu pour elle... Enfin elle savait comment ça se passait et tout ça elle ne voulait pas en parlé des heures non plus! Elle eut un hoquet de tristesse, une petite larme roula et tomba en plein milieu du front de celui qu'il l’aimait avant ses dernières paroles.  

-Je dois te dire quoi maintenant? Je dois te dire quoi pour que tu revienne? Je ne veux pas te lâcher! Je ne veux pas t'oublier! Je ne veux pas de bébé et je ne suis pas un monstre!

Aria serra son emprise autour de son poignet. Encore? Pourquoi elle était poursuivie par cette impression de se tromper? Pourquoi elle ne disait jamais rien de juste? Pourquoi elle ne faisait jamais rien de parfait?

-T'es pas mieux que lui! L'empereur m'a fait pareil! Oh non vous êtes tous pareil! Les femmes ne sont qu'un morceau de chair plus ou moins beau! J'aurais mieux fait de naître laide pour ne pas avoir à souffrir de vos caprices! Et j'aurais mieux fait de te laisser en bas pour que tu n'ai pas a souffrir de mes paroles aussi pourrie que moi!

Aria avait mis son autre main sur ses yeux. Elle essayait de contenir ses yeux qui brulaient. Ils brûlaient de son refus. Elle ne voulait pas laisser couler ses larmes et ses yeux lui rendaient biens en lui donnant une sensation de brûlé.

Alucard enfonça ses ongles dans le poignet d'Aria.


- Lâche moi ! je suis rien pour toi alors lâche moi !

Ce n'était qu'un tissu de mensonge. Depuis son arrivé, elle était bizarre pas aussi aimante qu'avant peux être que sa petite rencontre avec Bonten avait changé sa façon de voir les choses. Mais ce qui était sur c'est qu'il n'allait pas en resté là. Oh que non !

Il afficha un sourire satisfait et prit de folie il rigola. 

Un rire à la fois clair et machiavélique. Il allait la faire souffrir, la faire pleuré. Oh que ça allait être jolie des larmes sur ce visage clair. Tout ceci serait magnifique.

- Alors qu'allez vous faire maintenant ? Ma lâché comme un monstre cruel ou alors me remonter et me laisser vous tuer vous et le reste de tes semblables ?

Un nouveau rire s'éleva dans le ciel aussi clair fut-il il était surtout noir. 


Quant l'amour se transforme en haine... 

Aria poussa un petit cri de douleur, elle avait envie de prendre son poignet et enlever ses ongles qui lui entaillait la peau. Le lâcher? Non ça serait vraiment se rabaisser au rang de monstre! Elle le remonta donc en s'aidant de son autre main. Quand il eu les pieds sur le bord de la fenêtre Aria le tira violemment vers l'intérieur pour pas qu'il ne se relaisse tomber. Elle le lâcha une fois qu'il était dans le salon et referma la fenêtre. Aria le regarda finalement et se baissa vers lui.

-Oui je préfère te remonter et que tu me tue... Au moins je n'aurais plus à souffrir de toutes ses histoires!

Elle se redressa et se tourna vers le mur. Elle se laissa glisser contre celui ci en soupirant. Elle ne le regardais pas. Elle ne voulait surtout pas le voir. Aria avait mis ses mains devant ses yeux pour ne plus voir. Plus rien juste le noir qu'elle aimait. Elle fronça les sourcils et repoussa ses cheveux pour montrer son cou.

-Tu veux peut être mon cou? Ah non c'est vrai! Toi tu arrache les têtes...

Elle hoqueta encore. Pour elle c'était bien triste de finir comme ça. Finir par mourir par la main de celui qui voulait passer la vie à vos côtés. C'était paradoxal aussi. Ça l'aurait fait rire si elle n'était pas dans cette situation.

-Arrête...s'il te plait arrête...


Son souffle était court et des larmes d'eau perlaient au coin de ses yeux. Une d'elles se détacha et glissa le long de sa joue. Il avait pas aimé sa façon de mentionner mais de là a la violenté c'était peux être trop...

- Je suis désolé.

Il ne voulait pas qu'elle le voit comme un monstre. Il voulait être son prince charmant rien cas elle. Il se mit en position fétus et la regarda au pied du mur. Il avait froids mais n'en fit rien paraître. Il aurait voulu la prendre dans ses bras mais leurs amour lui semblait d'un seul coup vacant.

Aria releva la tête avec l'air étonné. Il s'était excusé? Ou elle avait rêvé? Ah si il s'était excusé sinon il ne pleurerait pas. Et elle n'aurait plus la tête sur les épaules. Elle se leva et alla vers lui. Elle le regarda longuement. Elle fit un pas en arrière, tourna la tête, soupira, le regarda tristement et revient vers lui. 

-Moi aussi je m'excuse...

Aria se baissa vers lui. Elle s'assit et se laissa glisser pour s’allonger. Elle força le passage pour rentrer dans son étreinte. Elle essuya ses larmes et embrassa ses yeux pour enlever ses larmes.


-On s'aime toujours hein? On est pas ensemble pour combler pas pour meubler pas vrai? On va toujours se marier non? Je te promet que je serais parfaite! J'essayerais de ne rien dire qui ne te plairait pas!Je serais parfaite! Je ne dirais rien et je serais toujours là... Toujours dans le cadre promis que ça ne débordera pas! Je ne pleurerais plus, je ne criais plus, je ne te rendrait plus triste et en colère promis!  Mais reste avec moi! Je t'aime moi!


Elle ferma les yeux et se cacha avec ses mains. Presque honteuse de ce qu'elle disait. Ça lui semblait si c'était gamin, immature et surtout irréfléchis! Mais elle en avait ras le bol des échecs alors lui non! Elle ne ferait plus rien contre lui, elle ne dirait plus rien sans son avis! Si ça pouvait lui permettre de le garder... Aria enfouit sa tête dans son cou, s'accrocha au tissu de son habit comme un naufragé s'accroche à une planche et le serra contre elle.

Alucard posa son front contre celui d'Aria.

- Je veux juste que tu sois toi même et heureuse.

Les yeux clos il profitait de l'instant présent. La chaleur du corps de sa femme infiltré chacun de ses ports. Il était bien là, a aucun moment il n'aurait voulu se détacher d'elle. 

Ce n'était peux être pas le meilleur accueil qui aurait espéré mais il être avec elle lui suffisait. Il aurait juste voulu qu'elle s'ouvre plus, qu'elle enlève ses chaînes, ce cadre comme elle l'appelait et qu'elle se montre telle qu'elle est vraiment car c'est pour ça qu'il l'aimait pour ce qu'elle est et pas pour ce qu'elle veux montrer.


- Je veux que tu devienne ma femme pas pour que tu fasse mon ménage mon repassage ou me préparé a manger pas non plus pour faire statut de sel dans mon salon. Je te veux pour femme pour que l'on s'engueule, pour que l'on s'aime et surtout pour que tu sois libre, libre de pensé, de dire, de faire ce qu'il te plait.

Aria soupira d'aise et de satisfaction. D'aise parce que elle était bien là. Elle avait l'impression d'être entouré et apprécié. C'était toujours agréable ce genre de sentiment. Et puis avec lui c'était assez courant les passages d'engueulade et de réconciliations. Comme si ils se disputent juste pour mieux se retrouver. C'était assez étrange dans un sens et logique dans une folie.

Elle lui sourit avec franchise. Elle rigolait intérieurement. Il parlait d'abord de s'engueuler comme si ils ne faisaient que ça. Enfin elle espérait qu'ils ne passaient pas leur temps à le faire ça serait plus convaincant au bout d'un moment. Et ça les rongerait d'amertume. Elle souffla sur une mèche argenté pour la virer de devant les yeux bleus de son amoureux.


-Tu dis ça comme si on passaient notre vie à nous disputés! Non tu sais je me vois très mal femme au foyer... Tu pliera ton linge tout seul ou tu ira au pressing comme moi! Pour la nourriture ça je sais faire mais si tu n'aime pas le poisson ça va être compliqué! Ensuite pour la décoration de salon je sais ce que c'est et c'est très désagréable donc merci de me l’éviter!

Elle rigola gentiment. Oui du poisson! Enfin deux fois par mois sinon c'était riz et accompagnement neutre! Parce que comme dirait une bonne nutritionniste: "C'est pas bon pour la ligne!" Même si Aria mangeait souvent des choses qu'elle qualifiait de "trop bon pour être oublier!". Elle rit encore de elle même. Ses faiblesses face à la nourriture!