Une rencontre sportive [Clara Silvas/Fubuki Satô]

Le gimnsa, un endroit où tout le monde doit passer un jour. C'était un lieu immense où on aurait pu y placer une centaine de personne. Dans le fond de la salle, il y avait une petite porte donnant sur le local. De dans , il y avait tout les équipements pour les différents sports, un vrai supermarché.

La classe de Clara venait juste d'arriver dans cette immense pièce. Les yeux collaient au plafond, elle aperçut qu'il était coupé en deux, un plafond ouvrable. Le professeur de sport était déjà entrain de les baratiner, mais bon cela était normale c'était le premier cour de sport. Donc elle était là, dans son pantalon de sport couleur corbeau et son décolleté de la même couleur, à regarder le plafond en se faisant craquer les doigts.

"Je m'ennuis" finit-elle pas soufflet dans un murmure

Fubuki scrutait depuis un bon moment déjà la salle dans laquelle il se trouvait, il aurait donner n'importe quoi pour pouvoir s'y échapper.

Il remarqua pourtant, à quelques mètres de lui, une fille qui soupirer bruyamment et qui avait l'air aussi enthousiaste que lui, il ne pû s'empêcher de légèrement sourire en la regardant.
Non pas parce qu'elle était, il faut se l'avouer, plutôt mignonne, mais parce qu'elle semblait quelque peu différente des autres ici présentes.
Il se rendit compte qu'il l'a regardait depuis trop longtemps et voulu détourner le regard, mais trop tard, elle le regardait déjà.
Il fut surprit de voir un léger sourire se dessiner sur ses lèvres.


-Quoi ? lança-t'il quelque peu agacé, mais également amuser par cette fille qui semblait le défier.

"Oh,Rien." Lui répondit-elle avec une voix aussi douce que le vent. Ce garçon l'a regardait déjà depuis un petit moment, ce qui l'a faisait sourie. Elle se remit à fixer le plafond tout en gardant son sourire angélique.

"Allala que c'est long" pensa t-elle.
" Il n'en finira jamais avec son discours! Il veut nous tuer c'est ça?" Rien que cette pensée la fit pouffer de rire. Les tuer! C'était la blague du siècle. Elle continua de regarder le plafond tout en pouffant de rire.

Alors qu'elle genre de personne y avait dans sa classe cette année. Des mecs plutôt canons, des filles aux cervelles de mollusque et... ce jeune homme qui n'arrêtait pas de la fixer. Amusant! Elle se détourna du plafond tout en essayant de retrouver son calme, ce qu'elle réussit à faire avec grand mal. Maintenant elle écouter le prof puis au bout d'un moment leva la mains, se qui l'arrêta net.
" Quand commençons nous?"

"Oh, rien ?" Elle était de plus en plus intéressante, il arrêta quand même de la fixer et reporta tant bien que mal son attention sur le professeur qui parlait depuis une bonne heure déjà.
Il laissa échapper un rire léger en l'entendant s'impatienter devant le professeur qui la regardait complètement perdu et ne cessant de bégayer des mots incompréhensibles.

-Jamais, après tout, nous avons tout le temps devant nous, non ? dit-il avec un sourire moqueur, il avait raison, leur temps ne leurs étaient plus compter, pourquoi se presser ?

Elle le regardait maintenant droit dans les yeux. Nous avons tout le temps devant nous? C'est vrais pensa t-elle mais quand même elle avait d'autre choses affaire que de perdre son temps inutilement dans ce lieux sombre et glaciale. Elle lui fit son plus beau sourire avant de lui répondre.

" C'est vrais mais bon... cela serait beaucoup plus amusant de faire du sport. Quand penses-tu?"
Maintenant, elle était juste en face de lui, ses yeux noisettes plongeaient dans ses yeux sang.
"La même couleur que les miens" pensa t-elle.

Il était d'accord avec elle, il avait d'autres projets en tête.
Il essayait de ne pas regarder trop intensément ses pupilles, mais c'était bien plus facile à dire qu'à faire, ses yeux aussi rouges que les siens le transperçait complètement, il approfondit l'échange qu'il y avait entre eux, sans s'en rendre compte, ils se rapprochèrent peu à peu, comme attirer par un aimant, fixant l'iris de l'autre.
Ce fût lui qui détourna le regard en premier, trouvant se soudain rapprochement de plus en plus dangereux.
Il ne voulait plus s'attacher aux autres, il refusait de ressentir de la sympathie pour qui que se soit, pas d'aussi tôt en tout cas.

-Les heures sont passer, le cours est fini, je suppose ?

Effectivement, la dernière heure était passer à vive allure.
Il regardait tous les élèves sortir du gymnase, tous.... Sauf elle.
Elle demeurer en face de lui, ne bougeant pas.
Ils n'étaient plus que tous les deux, lui et cette étrange fille aux yeux ensanglantés.

Il avait détourné le regard trop rapidement à son goût. Lui avait-elle fait peur? Peut être, ses yeux étaient devenues rouges sont qu'elle le veuille. Ce n'était pas la première fois mais normalement elle pouvait se maîtriser et éviter que ses sentiments prennent le dessus mais là, elle n'avait pue le faire. Pourquoi?
-Les heures sont passer, le cours est fini, je suppose ? lança t'il précipitamment au prof
Déjà? elle n'avait pas vue le temps passait. Ce jeune homme avait réussir à lui voler quelques minutes de sa vie si facilement. il n'avait pas fait que ça, remarqua t'elle. Il n'était plus qu'a quelques centimètre de lui. Surprenant!

Elle continua de l'observait, lui les yeux au sol et elle dans le vide. Puis elle se décida à partir, le laissant seul avec son regard errait fuyant un passé lourd. Elle l'avait bien vue dans ses yeux, cet homme avait un lourd passé qui serait toujours le marionnettiste au bout du fils de sa vie.

Il la regardait s'éloigner peu à peu, pour qu'il ne voit plus qu'une silhouette au loin.
Elle avait réussi à lui faire repenser à elle... Comment avait-elle réussi son coup... ?
Il était devenu tout à coup nostalgique, il revoyait son visage, son sourire... À cet ange qui l'a trahit...
Il fracassa son poing contre le mur avec rage, pour la première fois depuis des années, cette fille, dont le nom lui était encore inconnu, avait réussi à lui faire repenser à cet événement, ce passé qu'il voulait à tout prit oublier.

Il se surprend à avoir une envie de courir derrière elle, ce qu'il ne tarda pas à faire, longeant les couloirs jusqu'à arriver à elle.
Il lui saisit son poignet pour qu'elle se retourne, il était essoufflé, non pas pour l'effort physique qu'il venait d'accomplir mais pour ses sentiments qui se mélangés dans sa tête, il était dans un état lamentable et ce hurler intérieurement pourquoi il était dans un état si pitoyable devant elle.

-Quel est ton nom ? lui demanda-t-il ayant reprit un peu de son souffle

Elle s'éloigna tranquillement avec un goût amère dans la bouche. Elle repensait à se jeune homme. Il avait un passé lourd, peut être avait-il était victime de cette chasse... ou encore d'autre chose. Elle se mit à le plaindre, il passait à côté de sa vie, il faisait la même erreur qu'elle. Non! Elle ne pouvait le laisser comme ça. Elle était perdu dans ses pensées quand un bruit de claquement se mit à raisonner dans le couloir. tout le monde s'arrêta net sauf elle, tout le monde était entrain de se poser des questions et de gesticuler sauf elle.

" Il avait le caractère pour" pensa t'elle et elle continua son chemin jusqu'au vestiaire pour femme. Elle n'était plus qu'à quelques mètres de la porte quand une main lui attrapa le poignet. Elle se retourna et tomba nez à nez avec se garçon qui semblait sortis tout droit d'un film d'horreur.

Lamentable! C'était le mot qui lui venait à l'esprit mais elle fut prise d'un autre sentiments à son égard, ses yeux  passèrent de leurs noisettes habituelle à un blanc laite. Elle était prise de compassion pour se jeune homme et ne pue s’empêchait de replonger dans ses yeux mais une voix l'arrêta.
"Quel est ton nom ?"
Elle ferma les yeux et lui répondit avec un petit sourire
"Clara et toi?"

-Fubuki, Fubuki Satô

Il se rendit compte qu'il lui tenait toujours son poignet, qu'il lâcha doucement.
Il essayait de se calmer, son cœur battait la chamade, non pas qu'il était attirer ou autre chose, par elle... Mais quelque chose en elle lui rappeler ce doux ange avant qu'elle ne le trahit et le détruit.
Honteux de paraître ainsi, il voulait détourner le regard, mais ça lui était impossible.

Son prénom résonner dans sa tête, "Clara", intéressant.
Il sourit légèrement et se retourna, la libérant, et se dirigea vers les vestiaires pour hommes.

Fubuki s’appelait-il. Elle savait enfin qui était son étrange interlocuteur. Il lui relâcha doucement le poignet, ce qui constater avec la fermeté dont il avait fait preuve peut de temps avant. Puis il tourna les talons pour se diriger vers le vestiaire des hommes. La laissa, là, seule, perdu parmi se troupeau humain.
" Mais qu'est ce que je fais à rêvasser comme ça, moi!" Elle se donna une gifle et se dirigea à son tour vers le vestiaire des femmes.

Elle ferma la porte et je déshabilla, prit sa tenue scolaire, l'enfila et sortit. Aujourd’hui se serait jupe noire et chemisier blanc, le tout harmonisait avec une petite rose rouge coinçait dans ses cheveux marrons. Elle descendit les longs escaliers de marbres jusqu’à la salle de musique où elle aimait aller pour se détendre un peux.

Elle ouvrit la porte, posa sa flûte et sortis une partition. Elle respira un grand coup, sortis sa flûte et commença à jouer. Cela faisait un telle bien de se sentir libre comme le vent, elle adorait ça.

Il sortit du vestiaire à son tour et se dirigea instinctivement vers la salle de musique.
Étant chanteur, il ne pouvait se passer de jouer et chanter ne serait-ce qu'une journée.
Il ouvra la porte et devant lui, elle était là, une fois de plus.

-Clara...

Il resta à l'entrée, ne sachant s'il devait faire demi-tour ou non...

Sonate en Si mineur de Barc, un morceau compliquait mais très jolie. Elle aimait travailler la flûte, surtout les beaux morceaux comme celui-ci. Elle se laissa entraîner par la mélodie et tout se qui l'entourait s’effaça pour laisser son imagination recréer le paysage. Des notes de musiques, une noire, une noire pointées, une blanche, une ronde ou encore des figures plus dure, double croche, simple, triple, triolet, tout s'enchaîner sous ses doigts. Une danseuse étoile qui faisait ses figures de la plus simple aux plus difficiles.

Elle commença une montée puis la descendit. Simple comme bonjours. Maintenant plus dure, elle commença une autre montée en y rajoutant des dièses, puis des bémols, c'était plus dure mais pas assez pour la décourager. C'était quand même un petit bout de femme qui savait ce qu'elle voulait et se donner tout les moyens pour l'avoir.

La vie ne l'avait pas épargnée mais elle s'était relevée et avait avancée. On entendait ça, la détermination de la demoiselle avec toute sa souple et grâce juste. Elle arrivait à la fin du morceau encore deux notes, maintenant une et une double. Voilà fini, le concert privée venait de finir, les musiciens prenaient leurs souffle et elle elle était là au milieux d'eux et il l’acclamait mais ce spectacle angélique s'évapora pour laisser place à la vie réelle. Elle était seule et heureuse de son travail. Elle s’assit et tourna la tête vers son mystérieux spectateur. Elle ne fut pas surprise de le voir même on aurait pue penser qu'elle l'attendait. Elle lui sourit dans un geste de bienvenus.

Il entra sans hésitation en la voyant sourire.
Il devait se l'avouer, elle jouer merveilleusement bien, il prit une chaise et s'assit en face d'elle, il attendait sûrement qu'elle joue, lui-même ne savait pas exactement ce qu'il attendait.
Il l'a regardait simplement, attendant ce qu'elle ferait.

-Sonate en Si mineur de Barc, un morceau difficile que peu de personnes arrivent à jouer. dit-il en lui souriant gentillement.

"C'est sûr" lui répondit elle avec le même sourire, puis elle ajoute avec une voix douce:
" Mais, je pense quand travaillant, tout le monde peut y arriver".

Elle regarda le jeune homme qui lui faisait face, puis rangea sa partition, en sortit une autre et se dirigea vers le piano. Elle s'assit puis commença à jouer une autre mélodie, moins dure certes, mais aussi jolie. Une strophe, puis deux, puis trois. Les notes défilaient sous ses doigts fins comme un fils qu'on déroule. Bientôt elle se mit à chanter sur cette air qui n'avait pas de parole. Une improvisation qu'on elle avait la spécialité.

Il l'écoutait avec attention, elle chantait bien également, elle avait vraiment un talent pour que lui-même, chanteur, le pense.
Il était de plus en plus intéresser par elle, pour ses talents musicaux seulement bien sur.

-Pas mal... Tu es doué pour les improvisations, j'apprécie cela

"Merci" Elle rougissait d'entendre une autre personnes que ses amies la complimentait sur son chant. Cet homme, qu'elle ne connaissait qu'à peine l'avait captivé.
"Sais tu chanter?" lui demanda t'elle par réflexe. Elle l'avait pensée et ses mots étaient sortis tout seul. Elle en eu honte, elle connaissait à peine cette personne et déjà elle rêver de chanter avec. Quelle sotte! Une enfant trop précipité.

Mais pourtant elle ne détourna pas ses grands yeux noisettes de son interlocuteur, elle était curieuse de savoir sa réponse, et si elle était positive, de lui demander de lui faire une démonstration.

Un doux sourire s'afficha sur son visage, elle l'intéressait vraiment.

-Si je sais chanter ? A toi de juger lui souria-t-il en prenant place à son tour au piano.

Il se prépara et la regarda une dernière fois, puis s'élança. Ses mains dansaient presque sur les touches, il improvisait également, l'improvisation, c'était le meilleur trouvait-t'il.
Quand vient le moment de chanter, il chanta en rythme qu'il jouait pour créer une magnifique mélodie.
Son morceau était joyeux et mélancolique en même temps, il se laisser aller, oubliant tout ce qu'il y avait autour de lui. La musique l'emporté.

Il finit son morceau et la regarda intensément, ne détournant le regard d'elle, attendant son verdict.

Il se mit au piano et commença à chanter. Elle le regarda et l'écouta attentivement.A la fin du morceau il la regarda intensément.

"Magnifique" lança t'elle au bout d'un petit silence. La mélodie avait été choisie avec grand soin et les paroles aussi. Mais une chose la froisser, son message... Le message qu'il faisait passer à travers cette belle musique était magnifique, même il avait réussis à lui faire verser une larme, mais il était mélancolique presque triste.
Elle le regarda droit dans les yeux. Ses yeux noisettes qui avaient virés au bleu rencontrèrent ses yeux sang. Maintenant le silence régnait en maître et les enveloppa comme un épais draps blanc.

Qui allait briser le silence en premier. Elle ne voulait pas y penser. Ce silence était le seul moment où ils étaient en harmonie parfaite. Non, elle ne voulait pas le briser et voulait que personne ne le fasse même si, elle le savait, un moment donnait il faudrait le faire, même à contre cœur.

Il sourit, content que son morceau lui plaise, à vrai dire, il s'était inspiré de son passé, c'était censé être joyeux mais la mélancolie est apparu toute seule, ça a sûrement enrichit le morceau.

-Merci du compliment, je suis heureux que tu l'es apprécié

Ses yeux rencontrèrent ceux de la douce vampire devant lui, ses yeux l'hypnotiser à vrai dire.
Instinctivement, il se rapprocha d'elle, trouvant l'écart entre eux trop loin. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait, son regard se fit plus intense, il ne savait plus ce qu'il faisait, finalement, il se retrouva plus qu'à 1 mètre d'elle.
Quelque chose en lui, lui disait de couper cet échange entre eux deux, mais une autre l'interdisait de bouger. Lequel écouter ?
Ses jambes prirent le dessus toute seule, elles comblèrent le vide qui les séparaient, ils n'étaient plus qu'à quelques centimètres à présent, quand il s'arrêta, devant ses yeux. D'aussi près, il les voyaient brillés, peut-être qu'il y avait trop de luminosité ? Mais sûrement pas autant que les siens qui devait à présent, scintillés. Il se recula pourtant, de quelques mètres, pour avoir une distance l'un de l'autre plus raisonnable.

Il s'arrêta et lui souri. Elle se ne savait plus quoi lui dire. Il y avait un vide entre eux symbolisait par cette distance interminable. Puis, comme attirait par elle, il se rapprocha doucement mais surement. Pourquoi? Elle aurait aimer lui dire stop, lui interdire de s'approcher d'elle, mais son cœur lui interdisait. Peut être cet homme avait il les épaules pour la consoler, peut être pourrait il la comprendre.

Tant d'hommes l'avaient succèdes et aucun ne l'avait comprise. Il n'était plus qu'à un mètre d'elle et pourtant il se recula. Qu'avait il? Avait il peur? Était elle si effrayante sous son masque. Elle détourna les yeux, prises de chagrin. Stupide! Elle était stupide de détourner les yeux pour un homme. Elle se mordit les lèvres, pleine de mépris pour elle. Le silence retomba, les enveloppant tout les deux. Jamais il ne cesserait, pourtant le tintement de la cloche leur parvenus aux oreilles.

Elle tourna la tête et ne pue s'empercher de dire: "Le cour de sport va bientôt commencer". Puis elle se précipita vers la porte et monta les marches deux par deux pour arriver devant le vestiaire des filles. Elle était essoufflée, le cœur battant la chamade.

Il regretta amèrement de s'être éloigné, mais il ne pouvait rien faire d'autre, il ne pouvait pas, elle ne l'accepterait sans doute pas.
Lorsqu'elle se retourna pour partir, il eu un mouvement, il avait voulu lui retenir sa main pour l'empêcher de partir, mais n'était pas aller jusqu'au bout de son geste. Il n'aimait plus avoir de contact physique comme eux-ci, ne sachant s'il pouvait se le permettre ou non...

-Oui... fut les seuls mots qu'il pû lui dire

Il alla également au vestiaire pour hommes.
Le cours commença, même discours barbant, même place... Il l'a regarda encore.

Il regretta amèrement de s'être éloigné, mais il ne pouvait rien faire d'autre, il ne pouvait pas, elle ne l'accepterait sans doute pas.
Lorsqu'elle se retourna pour partir, il eu un mouvement, il avait voulu lui retenir sa main pour l'empêcher de partir, mais n'était pas aller jusqu'au bout de son geste. Il n'aimait plus avoir de contact physique comme eux-ci, ne sachant s'il pouvait se le permettre ou non...

-Oui... fut les seuls mots qu'il pû lui dire

Il alla également au vestiaire pour hommes.
Le cours commença, même discours barbant, même place... Il l'a regarda encore.

Le prof parlait toujours. Il était comme un automate réglait a la perfection. Elle le regardait hypnotisé puis détourna les yeux pour regarder les installations. Puis la voix du prof la repris dans son étaux.
-Faites des groupes de deux puis repartissez vous sur les installations.
Son regard se tourna direct chef vers ce garçon étrange, ses pieds se dirigeaient vers lui et en quelques minutes, elle se retrouva devant lui sans sans rendre compte. Elle lui prit le bras et se dirigea vers une installation.

-Faites des groupes de deux puis répartissez-vous sur les installations

Il regarda son professeur, incrédule, le malheur était donc contre lui ?
Il eu la pensée d'aller vers elle mais il se retourna, sur le point d'aller vers d'autres filles, quand un bras le saisit et l'emmena à une installation. C'était elle, Clara. Il fût surprit mais étrangement heureux.
Un sourire s'étira sur ses lèvres, il la regarda avec une tendresse infini et s'élança sur l'installation.