"La vie est un mystère dont le seul dénouement est l'amour" [Ashiko Sheldon et Lena Kender][terminé]

Grisant.

Voilà l'humeur dans laquelle était Ashiko. Il n'y avait pas d'autre mot quand il avait faim il ne valait mieux pas lui parler. Pas qu'il était méchant, il était juste froids et agressif. Malgré le flux entêtant du sang circulant dans les fines veines des humains qui l'entourait et essayait de resté de marbre et de gardé son air charmeur.

Les manteau colorés qui dansaient devant ses yeux lui parvenait comme des taches flou et explosive. Il porta une main sur ses yeux tout en continuant d'avancé vers la banque de sang qui lui paraissait étrangement loin. Sa marche était titubante et instable.

La faim lui craquelé l'intérieur du ventre avec une force et une délicatesse mélangé qu'il se plia en quatre pour ne pas hurlé de douleur. Les humains passaient à côté de lui comme si il ne se passait rien, comme ci il était invisible. Un simple pantin désarticulé qui se tordait de douleur au milieu de la place la plus luxueuse de Fantascio était apparemment normal.

Arrivé devant l'immense bâtiment qui datait du 17 ème siècles, il s'accorda un moment de répit et s'assis sur une des marches du perron. La tête posé sur ses genou, il essayait d"oublier la douleur mais en vain.

"Profité de votre misérable vie, humain !"

Elle avançait emmitouflé dans son manteau et sa longue écharpe, elle essayait malgré elle d’ignorer le vent glacial, qui la faisait frissonner. La jeune fille se frayait un chemin avec grande difficulté parmi la foule. Pourquoi elle était là à errer dehors comme une âme en peine ? Elle voudrait l’ignorer… ou plutôt l’oublier ! Oui, elle voulait oublier ses mauvais moments, ses cris. Mais c’était peine perdue, elle était hantée par ce qu’elle venait de vivre. Pourtant même après tout cela, elle respirait profondément afin de calmer ses émotions et empêcher la moindre larme souillée son visage. Lena était comme ça, elle était le genre de jeune fille à s’occuper de tout le monde avant elle et encrait ses sentiments tout au fond d’elle-même, pour faire croire qu’elle était sans faille.

Alors qu’elle continuait à lutter contre la foule et ses sentiments, elle lâcha par mégarde son écharpe qui s’envolait au loin dans une danse élégante avec le vent. Elle essaya de se faufiler hors de la foule, pour l’attraper car cette écharpe représentait quelque chose de sentimentale pour elle. Un présent de quelqu’un qui n’était malheureusement plus là pour elle… Elle parvenait enfin à voir son écharpe, qui était à présent posait sur le sol. Lena pria très fort pour qu’elle ne soit pas piétinée… Arrivait au bout de son calvaire, elle ramassa son bien soulagé mais…

Son regard se posa sur un jeune homme plié en deux sur les marches de l’un des plus bâtiments de ceux qui entouraient cette place luxueuse. Il avait l’air de souffrir le martyr et comme toujours la jeune demoiselle pleine de bonté se dirigeait vers lui afin de voir si elle pouvait lui offrir son aide. Elle s’arrêta à quelque pas de lui, hésitante… Qu’est ce qui la faisait hésiter ? Elle semblait sentir qu’il y avait quelque chose de pas normal, tous ses sens étaient en alertes. Lorsqu'elle l'observa de plus près elle se figea comme pétrifié, il était d’une telle beauté ! Mais d’une beauté si parfaite, que cela en devenait juste effrayant. Un frisson de peur lui parcourra le corps elle avait envie de fuir loin de lui mais bizarrement elle était bloquée, son corps ne voulait pas s'éloigner de lui.

Ashiko sentit un flux sanguin différent des autres.

On aurait dit qu'une personne était effrayé. Il laissa de côté sa soif un instant pour se concentrer sur ce son anormalement agité. La personne était proche c'était sur, mais il hésitait à relevé les yeux de peur que sa soif prenne le dessus sur lui.

Son pouvoir lui permettait de contrôlé les flux sanguin mais il n'avait pas envie de changer celui ci, non il le sentait bizarrement agréable. Il savait que cette peur qui se manifestait chez cette personne venait de lui, oui c'était un vampire après tout, tout le monde avait peur des vampires normal c'était une espèce de monstre avare.

Il prit la décision de ne pas relevé les yeux pour ne pas croisé le regard de cet humain. Il y a rien de mieux que de nourrir le mystère pour retiré les peurs. on ne peut pas être effrayé par le mystère, il ne peut que nous fasciner...enfin par théorie.

- Que me vos l'honneur d'une telle attention petite brebis égarée ?

Un sourire de satisfaction ce dessina sur ses lèvres quand il se rendit compte qu'il avait contrôlé sa voix, elle n'avait montré aucune faille qui pouvait faire croire qu'il souffrait le martyre. Il lui faudrait pourtant dans moins d'une dizaine de minute aller chercher une poche de sang pour ne pas sauté à la gorge de cette mystérieuse inconnue.

Son odeur charnière avait montré que c'était une femme ou un homme avec des hormones féminin après tout on vois de tout au 21ème siècle.

L'idée d'avoir affaire à un travesti le fit sourire serte l'idée de lui sucé le sang ne lui viendrait même pas à l'idée mais il pourrait jouer avec ... pas sexuellement non juste mentalement...Ashiko n'était pas particulièrement méchant, il avait juste un méprit totale pour les gens qui ne s'acceptaient comme ils étaient.

Cela venait sans aucun doute de son enfance avec sa mère ou plutôt le fantôme de sa mère vivre seule dans une chambre avec pour seul compagnon une guitare vous rendait perfectionniste et solitaire, chose qu'il n'était pas. Oh non c'était bien un des seule vampires à ne pas supporté resté seul, c'était comme une peur chez.

"Le passé resserve toujours des cicatrice ouverte pour le présent"

- Que me vos l'honneur d'une telle attention petite brebis égarée ?

Petite brebis égarée ? Cette façon de la nommer, la gênait quelque peu… Enfaite vraiment tout la perturbait chez cet homme. De son apparence qui était tout simplement parfaite, à l’assurance de sa voix lorsqu’il parlait. Sa voix lui donnait l’impression que tout allait bien, mais ce n’était pas encore cela qui la perturbait le plus… il avait un timbre si agréable à entendre qu’elle en frémissait.

Elle continuait de le fixer incapable de faire sortir le moindre son de sa bouche, pour tant elle voulait lui parler, mais rien ne venait… Ses yeux étaient hypnotisaient par les lèvres du jeune homme, il souriait. Pourquoi ? Elle n’en avait pas la moindre idée.

Il gardait les yeux rivés sur le sol, ce qui le rendait que plus mystérieux… Il refusait de la regarder. Il était mystérieux et c’était cela qui intrigué la jeune Lena, elle avait toujours été attirée parce qu’elle trouvait hors norme ou particulier. A croire qu’elle était anormale car la banalité ne l’intéressait pas le moindre.

Elle s’avança d’un pas, mais s’arrêta aussitôt. Elle hésitait encore entre partir loin de lui ou essayer de lui parler. Sa curiosité prenait le dessus, elle l’avait toujours était et cela lui avait valu pas mal d’ennuis. Mais cette fois c’était vraiment différent, elle en était certaine ! Un peu comme-ci, il y avait un lien bizarre qui l’attirait vers le jeune homme malgré sa peur.

Si seulement elle pouvait croiser son regard… Là elle serait vraiment quoi faire, pour elle les yeux reflétaient l’âme des gens. Mais là aussi il restait un mystère total, elle se posait tellement de question sur lui et elle détestait rester dans le l’ignorance. Elle ne se berçait pas d’illusion, elle voulait juste comprendre. Elle essaya de prendre son courage, prit une profonde inspiration et ouvra la bouche pour lui parler.

-Désolé de vous avoir dérangez.

Ce n’était pas vraiment ce qu’elle avait souhaité dire mais elle en avait peut être dit assez pour attirer son attention sur elle. Elle espéra que cela suffirait pour qu’il daigne la regarder. Elle attendait le cœur battant à la chamade de voir sa réaction.

Le déranger ?

Voilà une drôle d'idée ! Il aurait pus la tuer en un coups de dents et pourtant elle restait planté là a s'excusé de l'avoir dérangé. C'était serte étrange mais c'était surtout fascinant. Ashiko aimait les humaine pour cette raison, elle était innocente, frêle mais loin d'être fragile. Elle pouvait donner un amour tellement grand qu'elle supportait sans le moindre mal le fait qu'il soit un vampire, mais ce qui le fascinait le plus c'était ça ! le calme et la courtoisie qu'elles offraient a tout moment.

Deux choix s'ouvraient maintenant à lui. Soit il lui sautait dessus et se nourrissait d'elle soit il relevait la tête et partait boire un bon litre de sang avant qu'il soit trop affamé pour se maîtriser. Se résigner à la tuer lâchement parce qu'il avait attirée son attention lui était finalement impossible, il lui restait donc plus que la carte de la franchise.

Il prit une grande inspiration pour ne pas hurler de douleur quant il devra se relevé. Un éclair parcourut sa colonne quant il balança sa tête en arrière. Il ne fit rien paraître. comme une statut de marbre et tourna doucement la tête vers la jeune fille, pour enfin figé son regard dorée dans le sien. Il lui adressa un sourire charmeur pour effacé complètement les doutes quelle aurait pus percevoir jusqu'ici.

- Tu ne me dérange en aucun cas, petite brebis mais malheureusement je vais devoir prendre congé un court instant.

Il se releva avec l'agilité d'un félin, gardant ses yeux rivé sur la jeune fille. Il s'avait qu'il n'y avait quant captant son regard qu'il réussirait à ne rien laisser paraître. Les mains glissé dans ses poches et inclina doucement la tête.

- Si tu veux bien m'attendre, je serais ravie de reprendre cette discutions, petite brebis.

Il releva la tête et gravis une à une les marches du perron. La banque de sang était à l'intérieur de l'administration de la ville, derrière une porte gradé par une sorte de démon puissant. Ashiko n'en savait pas grand chose, on lui avait juste donné une carte à son arrivé à présenté au gardien.

L'homme était grand et habillé entièrement en noir, il lui montra sa carte comme preuve d'identité et passa derrière la porte.

L’attendre ? Elle ne savait toujours pas quoi faire, elle avait cru que croiser son regard l’aiderait, mais ça n’a fait qu’augmenter le nombre de question qu’elle se posait. Il semblait souffrir au premier abord mais lorsqu’il avait ouvert la bouche ou même lorsqu’il s’était levé, il n’y avait plus aucune trace de cette souffrance. Et son regard doré… Il était tellement intense, elle avait envie de revoir ses yeux au moins une dernière fois. Plus rien ne lui semblait logique, elle aurait prit ses jambes à son cou si un autre l’aurait appelé « petite brebis » mais là…

Non, elle ne devait pas rester là à attendre qu’il sorte de là, elle s’éloigna à peine de quelque pas qu’elle se stoppait déjà dans sa lancé. Lena maudissait sa curiosité aussi fort qu’elle pouvait le faire, elle se repassait en tête le moment où elle avait croisé son regard. Elle posa un regard hésitant sur le bâtiment, le bâtiment où se trouvait se mystérieux inconnu qui n’avait pas hésité à lui demander de l’attendre. Elle tapa furieusement du pied au sol attirant le regard de certains passants qui traçaient leur chemin. C’était la première fois depuis bien longtemps qu’elle exprimait de l’agacement pour quoique ce soit.

Elle devait à tout prix faire le point, elle respira profondément en fermant les yeux, essayant de faire le vide dans sa tête… Lena savait qu’elle devait partir loin d’ici, si elle ne voulait pas s’attirer une fois de plus des ennuis, mais malheureusement son cœur n’était pas en accord avec sa raison. Sa raison lui disait de partir loin, très loin de cet homme trop bizarre et beau pour être humain. Et son cœur lui disait de ne pas bouger, de l’attendre pour palpiter une nouvelle fois… Palpiter… Oui, elle avait eu des palpitations étranges sous l’hypnotisant regard doré de l’inconnu… Alors qu’allait-elle faire ?

Elle se mit alors à sourire en songeant à l’une de ses citations préférés, elle résumait toute la situation actuelle c’est sans le vouloir qu’elle la cita à voix haute :

-Le cœur à ses raisons que la raison ne connaît point.

C’était en évitant le regard des passants, qu’elle revenait sur ses pas et s’appuya contre l’un des lampadaires qui se trouvaient devant le bâtiment. C’était avec le cœur battant et les joues en feu, qu’elle patienta pour revoir le mystérieux inconnu aux yeux d’or.

Même si la vie devant être un secret, il est certain qu'il serait découvert sans grands mal. La planète comprenait une petite dizaine de millons d'être qu'il soit humain ou pas. Les vampires étaient d'environs 5%. Vous allez dire, que c'est peu ça l'est ! mais ce qu'il faut savoir c'est que parmi ces 5% La moitié était des êtres sans coeur ni fois, ce qui pourrait expliquer pourquoi les humains les traquaient comme de vulgaire chiens porteur de la rage.

Ashiko attrapa une poche de sang la porta a sa bouche et la bu il répéta ce geste 4 fois. Une fois repu, il se glissa le long du mur les yeux embués. Il avait horreur de ça, se sentir comme dévoré par un monstre buveur de sang dans son propre corps. Ses cheveux châtain clair lui barraient le visage lui donnant un air maladif.

Il ne comptait plus les années depuis sa tranformation, non on ne pouvait pas appelé ceci une transformation vu qu'il était un sang pure. Un monstre né monstre et qui mourra monstre. On pourrait croire qu'il aurait du s'habituer à sa vit de vampire, a boire du sang mais derrière ses airs de je suis sur de moi se cachait en réalité une âme sensible, un petit bébé abandonné dans la cour des grands.

Après un long soupire il se releva, après tout il était attendu par une jolie demoiselle ! et on ne fait pas attendre une dame, qu'elle soit belle ou non ! un sourire se dessina sur son visage quant il repensa à l'humaine. Elle était long d'être moche, autrement dit elle était belle. Il passa sa main dans ses cheveux en quette de les recoiffé histoire de ne pas paraître torturé.

Jusque là, Ashiko n'avait pas fait attention mais l'air était frais. Le plus discrètement possible, il chercha du regard la jeune fille. Il n'avait pas le pouvoir d'invisibilité mais son contrôle sur les flux sanguin lui permettait de passé quasiment inaperçu. Et c'est au dos d'un lampadaire qu'il la trouva.

Il s'avança légèrement comme un souffle d'air impalpable. Arrivé derrière elle, il approcha sa bouche de son oreille. Son souffle déferlait comme une brume légère que l'été offrait.

- Me revoilà petite brebis.

-Me revoilà petite brebis.

Elle sursauta par surprise, elle ne l’avait pas entendu revenir. Elle pivota vers lui et replongea avec plaisir dans ses yeux dorés. Elle ne pu s’empêcher de lui sourire, elle ne savait pas pourquoi d’ailleurs, elle n’a jamais été du genre à faire des sourires comme ça à n’importe qui. Mais on va dire qu’avec cet homme mystérieux elle ne réagissait plus normalement, elle restait là alors qu’elle avait l’intuition de partir, son cœur s’affolait sous son regard alors qu’aucun garçon ne lui avait jamais fait cet effet et maintenant elle lui lançait l’un de ses sourires les plus rayonnant.

Elle savait qu’il était différent, différent de tous les garçons qu’elle avait rencontré jusque là mais elle ignorait jusqu’à quel point. La seule chose dont Lena semblait certaine c’est qu’il n’était pas méchant loin de là, elle voyait dans son regard qu’il avait un bon fond et sur ça elle ne se trompait jamais. Enfin jusqu’à présent elle ne s’était jamais trompée. Elle était fasciné par cet homme et elle comptait bien découvrir pourquoi.

Elle n’arrivait plu à quitter ses yeux à croire qu’elle était hypnotisée par lui. D’ailleurs elle n’avait pas hésité à l’attendre malgré le froid, juste pour le revoir. Elle savait que si elle voulait le retenir, il fallait qu’elle lui parle sinon il n’aurait aucune raison de s’attarder près d’une fille comme elle… Elle se trouvait banale et inintéressante comparé à lui. Alors c’était avec une petite touche d’humour qu’elle l’accueilli :

-J’ai failli attendre grand loup.

Elle se gifla intérieurement pour l’humour assez pourris qu’elle venait d’employer. « grand loup »… Non mais où elle avait la tête pour dire ça ! Pour elle s’était inévitable, il allait se moquer d’elle et partir loin. Elle attendit alors de voir sa réaction en croisant les doigts dans les poches afin de le garder encore un peu près d’elle.

Grand Loup.

Voilà bien longtemps que l'on ne l'avait pas surnomé ainsi. Pour lui un loup était plus un protecteur qu'un être méchant. Il aimait bien ce grand animal carnivore au dents acéré. Etre comparé à lui, lui plaisait bien.

Il s'approcha encore un peu plus près d'elle et souffla à son oreille :

- Tu ne sais pas à quelle point ces mots sont vrais.

Il afficha un sourire satisfait et se retira.

Il promena ses yeux dorés sur les passagers qui semblait tournoyer autour d'eux comme des corbeau autour de la charognes. Pour lui se serait simple de les faire fuir mais il ne voulait pas user de ses talents de monstre devant la jeune fille, ceci l'aurait d'un premier point émerveillé mais ensuite effrayé et c'était bien la dernière chose qu'il souhaitait.

Reportant son attention sur la jeune fille, il lui sourit.

- Cela fait bien longtemps que l'on ne m'appel plus le grand loup mais Ashiko... Ashiko Sheldon de mon nom complet mais si l'envie te prends de m'appelé grand loup, je ne ferais rien pour t'en empêcher.

Ashiko était un vampire de sang pur, ce qui pourrait expliquer ses airs autant et son franc parlé mais loin de moi cette idée fixe comme quoi les sang pur méprise les humains où les rabaisse au rends de frigo sur pattes. Non si c'était possible, il ne boirait pas une goutte de sang que ce soit humain ou animal. Bien que l'extase que ceci apportant au jeune vierge l'avait mainte et mainte fois fait sourire.

Elle n’en revenait pas ! Il avait apprécié sa façon ridicule de l’appelait, elle voulait réagir mais … Elle essayait d’abord de calmer son corps, encore sous le choc du moment où il était si près d’elle pour lui souffler à l’oreille une phrase étrangement perturbante. Mais pour le moment elle était plus préoccupée par sa réaction que les paroles du jeune homme. Pour elle s’était encore une réaction de plus dont elle ne comprenait pas, elle ne comprenait pas la façon dont son corps s’emballait avec lui. Le son de sa voix lui donnait des papillons dans l’estomac, ses yeux faisaient battre son cœur à la chamade, son sourire rendait ses joues bouillantes et quand il s’est approché son corps entier s’était mis à frissonner… Elle réagissait bizarrement à ses yeux, c’était des sensations qu’elle ne connaissait pas le moindre.

En plus de ça elle trouvait qu’il était extrêmement bien éduqué dans sa façon de s’exprimé… ou alors c’était juste un beau parleur, mais elle en doutait pour elle, il était un mystère… un mystère plus que captivant. Une fois qu’elle fut calmé, elle se remit à lui sourire, heureuse qu’il s’était présenté à elle et qu’il ne l’avait pas fuit. Bien qu’elle trouva son prénom mystérieux elle n’y prêta pas attention et se présenta à son tour :

-Enchantée Ashiko ! Moi c’est Lena.

Elle avait dit cette phrase avec un entrain remarquable à ses yeux, voir même un peu trop d’entrain. Elle avait dit ça sur un ton joyeux, un ton qu’elle n’avait pas prit depuis fort longtemps, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Pour la première fois de sa vie elle ne calculait pas ses réactions et ses paroles, tout était spontané. Elle adorait ça, elle se sentait pour la première fois normale… comme les autres.

En effet il y avait bien trop de monde sur cette place.

Ashiko regardait autour de lui lascivement avec un brin de dégoût. Il se concentra sur les flux sanguin pour inspiré de la peur au personne présente sans faire attention a la jeune fille qui venait de lui sommer son nom. Très vite la place se vida, jusqu'à ce qu'il reste plus que lui et elle.

Elle venait de parler mais qu'avait-elle dit ?

Son nom sans aucun doute, tous ce que Ashiko se souvenait était de la fin, oui il sonnait en A.

- Très jolie prénom, c'est toujours mieux que petite brebis égarée.

Il lui agressa un de ses sourire charmeur dont aucune filles pouvaient résister. Il n'avait jamais accordé grande importance au prénom de ses conquête, pas qu'il n'aimait pas ça mais il n'en trouvait pas l'utilité, il avait une petite mémoire alors pourquoi l'encombré de prénom sans aucune importance.

Le seul prénom qu'il se souvenait c'était Constance oui Constance Coaline. Elle l'avait lâché lâchement comme une chaussette pourri et moisi. Serte ce n'était pas le plus doux des hommes ni le plus romantique mais ce n'était pas un objet sexuel !

" Toi quant je te reverrais tu sera morte et enterré !"

Son regard se noircis à la simple pensé de cette fille sans importance. Il avait cru pourtant pouvoir l'aimer mais à croire...

- Que l'amour n'est qu'un sac de linge sale.

Lena ne savait plus quoi faire, plus personne n’était présent autour d’eux... Ils étaient seuls et elle était certaine que ça venait de lui… Il n’était donc pas humain ! A ses yeux ça expliquer beaucoup de chose, déjà pour commencer elle n’a jamais été attiré parce qui était banal… normal. Mais aussi le fait qu’il soit si parfait physiquement. Elle le fixa un court instant, son attitude avait changé du tout au tout. Elle n’avait plus l’air niais bien au contraire, son sourire avait disparut et son regard aiguisé commença son inspection.

Il n’avait pas retenu son prénom, ça se voyait à sa façon de se tenir mais il n’y avait pas que ça. Son regard était devenu noir et sa phrase… « Que l'amour n'est qu'un sac de linge sale. »… Lena avait comme un don, elle avait un sens affuté pour deviner les sentiments et les problèmes des autres. Elle n’était pas d’accord avec ce qu’il venait de dire, elle croyait profondément à l’amour. Certes elle ne l’avait jamais vécu mais elle se rappelait clairement de l’amour de ses parents et pour elle il n’y avait rien de plus pur. Elle lui lança un regard de mécontentement et lui balança son point de vue :

-L’amour n’est pas quelque chose de méprisant ! L’amour est quelque chose de précieux et de beau, seul les personnes sans cœur le rendent méprisant ! C’est à toi de tout faire pour qu’il reste quelque chose de pur !

Elle n’avait pas fini de lui dire sa façon de penser, mais elle faisait une petite pause qu’elle qualifiait de théâtrale. C’était aussi pour mettre un appui plus important à sa première phrase.

-Je ne sais pas ce que cette fille t’a fait mais ça ne te donne pas le droit de rabaisser l’amour à ce point là ! Surtout que tu n’as pas l’air du genre de personne à mépriser les autres… Et au fait je m’appelle Lena… tu as comprit LENA ! Pas besoin de faire semblant avec moi.

Elle ne bougea pas de là, elle avait envie de lui faire changer d’avis sur ce qu’il pensait. Elle se moquait totalement de ce qu’il était, il pouvait être n’importe quoi… Elle était comme ça, elle voyait les choses telles qu’elles sont vraiment au fond et pas en apparence. Là elle savait que cet homme mystérieux était quelqu’un de bien, alors elle n'était pas prête de démordre sur cet avis.

Ashiko sourit.

- Tu es perspicace, c'est bien. Je suis désolé, je suis un incomparable solitaire.

Il baissa la tête le sourit aux lèvres. Ses cheveux lui cachait la moitié du visage, si bien que l'on ne voyait plus que sa bouche étiré. Il ne voulait pas être vu comme un beau parleur, il aimait la compagnie des femmes bien qu'il soit tête en l'air et peu attentionné.

- Même sans savoir ton nom je savais qu'il était joli petite brebis, a croire que tu n'es pas la seule à être perspicace.

Il releva la tête et la regarda avec douceur. Il ne cherchait plus à se cacher ni même a la charmer. Il pouvait être juste lui, la personne qu'il voulait être. Il n'était pas obliger de lui avoué que c'était un suceur de sang...

Pas pour le moment.

Lena retrouva son sourire en voyant qu’il avait laissé tomber son masque, il s’affichait à elle tel qu’il était. Et elle devait admettre que le voir sourire avec sincérité la faisait vraiment craquer. Rien qu’avec un seul coup d’œil elle savait qu’il n’était pas vraiment solitaire, il était certainement du genre à aimer la présence de quelqu’un et elle devina facilement que c’était plus précisément la présence féminine.

-Je préfère quand les gens sont simplement eux même… Le plus souvent l'apparence déçoit, il ne faut pas toujours juger sur ce qu'on voit.

C’était l’une des façons de voir de Lena, elle avait horreur des personnes qui mentent surtout qu’elle parvenait souvent à voir si on lui mentait. Elle était le genre de fille qui préférait rester simple et honnête, ce qui malheureusement ne plaisait pas vraiment à tout le monde. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle s’ouvrait aux autres, bien au contraire ! Elle était une perle cachée dans une coquille très solide, elle ne laissait jamais rien paraître que ce soit sa colère ou sa tristesse mais lui… lui il parvenait à la faire sourire.

Elle n’avait pas oublié ce qu’il avait fait, il a vidé la place de tout son monde pour qu’ils soient juste à deux… il n’était pas humain elle en avait la certitude mais elle ne laissait rien paraître de ce côté-là. Lena était certaine qu’elle saura tôt ou tard ce qu'il est et d'un côté elle s'en moquait... pour le moment elle voulait juste savoir qui il était au fond de lui pas en apparence et la souffrance qu’il tendait en vain de cacher. C’est en pensant à ça et sans le vouloir qu’elle murmura l’une de ses citations préféré :

-L'apparence n'est rien, c'est au fond du cœur qu'est la plaie.

Elle se mordilla doucement la lèvre inférieure, elle avait cette mauvaise manie de lâcher des dictons sur sa façon de voir les choses et ça ne plaisait jamais. Elle redoutait une fois de plus d’avoir fait un geste qui pourrait le faire fuir.

- C'est ainsi que font les grands poètes. Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, de tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, ce n'est pas un concert à dilater le cœur ; Leurs déclamations sont comme des épées. Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant mais il y pend toujours quelques gouttes de sang.

Musset. Voilà un passage qu'Ashiko adorait. Il se voyait comme cette épée qui tranche l'air de ses paroles délicate qui en réalité étaient tranchante comme une lames. Ses mots étaient choisi comme un bon dessert dans une pâtisserie tout était prévu pour qu'elles succombes. Mais parfois derrière leurs kilomètre de maquillage certaine se montre plus perspicasse et là il n'a plus cas leurs tiré son chapeau et se dévoilé à elle.

Il se retourna vers elle et planta ses yeux dorée dans les siens.

- Tu es bizarre, j'ai connu des petite brebis égarée mais la plus part avait peur et j'ai fini par les tuer...pourquoi pas toi ?

Il afficha un sourire satisfait même si ses mots allait surement l'effrayait...au pire il n'aurait cas demandé a Aria de lui effacé la mémoire avec ses papyrus enfin ses bout de papiers.

Lena n’avait pas peur, elle avait compris depuis un moment qu’il était loin d’être humain et loin d’être « inoffensif ». La mort… elle n’en avait pas peur, après ce qu’elle avait dû endurer elle trouvait que ça n’avait rien d’effrayant. Après tout elle était destinée à mourir un jour et si c’était de la main de ce bel homme ça lui faisait encore moins peur. Peu lui importait ce qu’il était, elle le trouvait intéressant… De son physique de bellâtre à sa façon de parler. Elle ignora complètement son instinct de survie pour rester près de lui, elle lui souriait avec l’un de ses sourires les plus éclatants ne sachant pas vraiment pourquoi…

-Si tu me trouve bizarre j’en suis flatté, ça veut dire qu’au fond que je spéciale et unique. Je n’aime pas ressembler aux autres filles !

Elle avait fait exprès de ne pas relever sa remarque sur les filles qu’il avait tué, elle ne voulait pas en parler… même si elle savait parfaitement qu’il disait la vérité sur ce fait. Elle ne comprenait plus rien, elle n’agissait plus normalement, elle était comme hypnotisée… fascinée. Pour elle chaque seconde où elle arrivait à capter l’attention de ce beau jeune homme était une réussite.

Ashiko afficha un sourire satisfait.

Il fit un pas vers elle sans la quitter des yeux. Elle avait dérobé sa vérité sur ses meurtre comme un réflexe de protection. Ce geste ne la mettait pas en sécurité bien au contraire, il adorait que l'on lui résisté et de toute façons elle finirait par capitulé car c'était la seule sortie qui s'offrait à elle.

Il n'était maintenant plus cas quelque centimètre de la toucher à telle point que ses vêtements caressait les siens grâce au souffle du vent.

- Il y a de ça quelque temps une jeune fille un peu comme toi innocente et fragile aux accents magnifique a trouvé la clé de mon coeur. C'était la première fois que j'aimais vraiment quelqu'un par amour et je me suis promis un soir que ce serais la dernière. Alors ne cherche pas à évité la vérité car la seule que tu dois gardé en mémoire c'est que tu ne te sortira pas vivante de cette rencontre. je ne suis ni un monstre affamé ni un humain on humeur changeante, je suis comme ce vent...i-na-ppro-cha-ble.

Le temps de sa tirade, il s'était rapproché de plus en plus d'elle à telle point que ses lèvres frôlaient les siennes mais son regard restait figé et froids.

Lena essaya de se concentrer, c’était si dur pour elle. Il s’était tellement rapproché d’elle qu’il était presque collé l’un à l’autre. Le regard de Lena se posa un instant sur les lèvres du jeune homme, elles étaient si près des siennes ! Elle n’avait qu’a bouger légèrement et… elle se mordilla la lèvre reculant d’un pas, un peu plus de distance l’aiderait à réfléchir un peu à la situation. Elle se retrouva contre le lampadaire n’ayant gagné que quelques petits centimètres, elle se repassa ce qu’il venait de dire dans sa tête… Elle le regarda avec intensité, elle se posait une question : Pourquoi n’avait elle pas peur de lui ? Elle ne comprenait pas !

-Tu pourras me menacer autant que tu veux ça ne me fera pas fuir !

Elle ne voulait pas s’enfuir, elle voulait rester là. Il voulait lui faire peur, la faire paniquer, la faire fuir… mais elle n’était pas ce genre de fille, elle avait toujours affronté les pires des situations depuis son enfance et ce n’était pas devant lui qu’elle allait se courber. Elle ne savait pas ce qu’il avait eu comme épreuve dans sa vie...

-Je ne suis pas aussi fragile que tu le pense ! Je ne suis pas comme cette fille, je ne veux pas être comparé à elle… Et si elle t’a blessé je ne vois pas l’utilité de comparer toute les filles à elle, tu ne feras que nourrir une haine incontrôlable… Les mauvais souvenirs nous rendent plus fort pour affronter notre avenir.

C’était sa philosophie, c’était grâce à cette façon de voir les choses qu’elle était encore debout à s’accrocher à ses espoirs.

Ashiko glissa sa main sur la joue de Lena.

- Qui a parler de te faire fuir ?

Son grain de peau doux et lisse, roulait sous son contacte. La chaleur des humains était une chose qui avait toujours émerveillé Ashiko. Leur capacité à pouvoir émané de leur peau une chaleur quasiment constante était quelque chose d’impressionnant pour le jeune vampire. Son regard s'adoucit presque naturellement quant il sentit par un petit picotement au bout de ses doigts sa peau se réchauffer.

- Vous me fasciné petite brebis.

Il s'inclina et posa un baise-main sur le dos de la main de la jeune humaine.

Lena regardait bêtement le jeune homme, dès l’instant où il avait posé ses lèvres sur sa main elle avait perdu le fil de ses réflexions. Elle ne parvenait plus à contrôler son corps, elle frissonnait, rougissait et ça se n’était rien comparait à son cœur qui battait à la chamade. Elle appréciait chacun des contacts qu’elle avait avec lui… elle l’appréciait lui tout simplement.

-Moi aussi je suis fasciné par toi Ashiko.

Elle se mordait la lèvre inférieure, se giflait intérieurement… Elle vira certainement au rouge écarlate, elle n’avait jamais voulu dire cette phrase là ! Elle ne voulait surtout qu’il sache qu’elle était attirée par lui. Elle baissa la tête honteuse de sa phrase. Elle ignorait d’où lui venait cette gêne… peut être parce qu’elle ne s’ouvrait jamais aux autres ? Peut être parce que c’était la première fois qu’elle ressentait ça ? … Elle le savait… c’était un mélange de tout ça !

Ashiko releva les yeux.

Un sourire béat s'était installé sur ses lèvres, il glissa index sur la bouche de Lena contournant ses lèvres avec douceur.

- Tu ne devrais pas, c'est un jeux dangereux.

Sa voix était douce et calme presque mielleuse.

Il laissa sa main glissé le long du corps de la jeune fille et la remit dans sa poche reportant son attention sur l'horizon et le vaste vide qu'il avait produit sur la place. Il ne restait plus qu'eux deux et le vent. Le calme était total même les oiseaux avaient stoppé leurs chants.

- Il y a t-il quelque chose que tu voudrais voir ?

Il s'arrêta un instant et se retourna vers elle.

- Je veux dire es-ce que tu as un rêve que tu aimerais réalisé ?

L’ambiance avait à nouveau changé, elle était devenue plus légère mais en même temps plus étrange pour Lena… Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi il lui avait demandait ça… Un rêve qu’elle aimerait réaliser ? Elle n’en avait qu’un seul…

-C’est plus un objectif qu’un rêve !

Elle réfléchissait un instant, elle avait retrouvait toute son assurance rien qu’en repensant à ça. Elle n’en avait jamais parlé directement aux autres, elle questionnait sans vraiment expliquer et elle faisait des recherches là où elle le pouvait.

-Mon désir le plus cher serait de retrouver le meurtrier de mes parents et de le tuer ! Il a brisé ma vie, il m’a enlevé ce que j’avais de plus cher… je vais lui rendre la monnaie de sa pièce !

Elle avait dit ça avec une détermination sans faille, les points serraient par colère et sa voix était devenue tendue. Elle n’avait jamais dit à personne qu’elle avait l’intention de le tuer… Elle vivait pour ça… sa vengeance.

Ashiko détourna les yeux de la jeune fille.

- La vengeance n'est jamais une solution.

Il avait beau être un être véreux, narcissique et arrogant, il était tout de même un homme d'honneur serte lui aussi désirait la vengeance plus que tout au monde et il serait surement banni pour ça mais une jeune femme comme Lena n'avait pas a ressentir de telle sentiments. Si elle devait le tuer ce serait passivement avoir une mort sur la conscience peut vous rendre complètement taré.

- Je t'aiderais a le retrouvé si tu veux mais si il te venait a l'idée de le tuer, je t'arrêterais.

Je ne veux pas que tu devienne un monstre...

La première fois d'Ashiko avait tuer il avait a peine une dizaine d'année, c'était l'une des femmes de ménage qui venait nettoyer sa chambre chaque matin mais il faut croire que ce jour là le repas n'avais pas été assez calorique. La pauvre femme avait sans le vouloir fait tombé la guitare du musicien et c'était coupé avec l'une des cordes. Les gouttes de sang qui perlaient sur la blessures avait mis a l’affût la côté vampire du jeune homme, il n'avait pas résisté a l'appel du sang et l'avait vidé de son sang. Il était trop jeune bien trop jeune, ce meurtre l'a anéantie purement et l'a fait plonger dans une folie sanguinaire pendant plusieurs année.

Depuis ce jour-ci, tuer est devenu un plaisir et c'était bien la dernière chose qu'il souhaitait pour Lena. Au pire des cas elle deviendrait une chasseuse et finirait sa vie a le traqué comme un un chien errant, il serait donc obliger de la tuer.

Mettre fin a une vie ne doit jamais devenir un plaisir, si cela devient le cas il faut avoir le courage de ce donné sa propre mort, chose d'Ashiko est incapable de faire c'est l'inconvénient d'être un sang pure, leur arrogance dépasse le physique il se respecte au point même d'avoir un instinct de survie inébranlable.

-M’aider ?

Elle le regarda pleine de surprise, elle n’était pas certaine d’avoir bien entendu ! Il était près à aider une inconnue mais il ne voulait pas qu’elle se venge. Il n’avait pas la moindre idée de ce qu’elle a dû endurer dans sa vie… Lena tremblait soudainement submergée par ses souvenirs noirs, elle sentait la rage et la peine la submerger.

-Tu n’as pas la moindre idée de ce que j’ai vécu ! J’ai entendu mes parents hurler dans leur mort atroce, je ne pouvais rien faire… leurs cris hantent mes nuits ! J’ai vécu dans un foyer où j’ai été battue jusqu’à ma majorité ! Je n’ai rien… ma vie ne vaux rien !

Des larmes avaient commencé à inonder son visage, elle n’avait jamais pleuré devant quelqu’un, elle s’était toujours caché pour ça. Elle enfouissait ses sentiments à chaque fois et n’ayant personne dans sa vie elle s’était refermé sur elle-même. Mais lui… il lui faisait perdre le contrôle de toutes ses émotions.

Ashiko ne fit rien paraître, aucune émotion absolument rien.

- Donc si j'ai bien compris tu as eu une vie de merde et donc tu trouve plus judicieux de devenir une meurtrière plutôt que d'essayer de la rendre plus rose ?

Sa voix était devenu neutre sans émotion.

En réalité il s'en fichait si elle voulait faire de sa vie un enfer et bien t'en mieux pour elle mais il serait le premier a la tuer. Il détestait ça, les gens et en particulier les humains qui se laisse crevé juste parce qu'il on une vie merdique. Et bien ils ont cas prendre sa vie à lui être obliger de tuer pour survivre ça c'est une vrai vie merdique et pourtant chaque matin il se lève, il reste a l'écoute des autres a les entendre braillé sur leur sort donc non il n’hésiterait pas un instant a la tuer.

- En faite tu as raison j'ai rien a foutre là.

Il commença a partir laissant les humain repeuplé la place petit a petit.

» Ashiko Sheldon
» Ashiko Sheldon le coureur de ses dames.
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» Le temps ne s'arrêtera pas de s'écouler[Lena et Ashiko][Finish]
» Le coeur est fait pour être réparer ?[Ashiko Sheldon et Ally Aaron]