"La vie est un mystère dont le seul dénouement est l'amour" [Ashiko Sheldon et Lena Kender][terminé]

- A bon ?

Ashiko afficha un sourire satisfait presque moqueur.

Il s'approcha d'elle jusqu'à être collé à elle. La place c'était a nouveau dépeuplé les laissant encore une fois seul. Il prit son visage en couple entre ses mains avec une délicatesse telle que l'on aurait pus croire a un frôlement.

- Tu n'as aucune chance contre un monstre tu le sais n'es-ce pas ?

Sa voix était douce. Il se concentra sur le flux sanguin de la jeune fille jusqu'à le ralentir a telle point quelle était a présent enfermé dans son propre corps. Son pouls tournait au ralentis l'empêchant de bougé le corps mise à par ça bouche, une paralysie momentané.  

Il glissa sa bouche le long de son oreille, passant de sa joie à son cou il s'arrêta au creux de celui-ci et sortit ses crocs. Il n'allait pas la mordre, juste glisser ses dents aiguisé sur sa frêle peau. 


- Si un jour tu te retrouve dans cette situation que ferais-tu petite brebis ?

- Alors comme ça je vous fascine ? C'est intéressant.


Il tourna autour d'elle comme un vautour autour d'une proie. Il ne cherchait pas a lui faire peur, ni même a l'impressionné, le fait qu'il la fascine lui paraissait comme une bonne chose du mins une chose correcte mais il savait pertinemment de quoi il était capable ce n'était ni une personne douce ni une personne violente. 


- On va dire que je suis un gentil monstre alors...


Il détacha son emprise sur elle, la libérant de son corps.

- Si un jour cela devrait arrivé, prie pour que j'arrive à temps.

- De l'eau.

Ashiko n'aimait pas montré c'est point faible mais il lui faisait assez confiance pour lui dire. Son pouvoir ne lui permettait pas d'approcher de l'eau, celle-ci l'aurait tout simplement fait flambé comme une vulgaire brindille. 

- Les personnes comme moi, enfin doté des même capacité que moi ne supporte pas l'eau donc si tu veux me tuer crache moi dessus. Les vampires de transformations sont sensible au bois tendis que la plus part des démons ne supporte pas ce qui brille. On a tous nos faiblesse mais sache que plus la personne est forte plus sa faiblesse est grande.

Ashiko resta un moment sans bouger, ne sachant pas trop pourquoi elle agissait ainsi. Le femme est une fleur est éveille, quand le temps choisi pour elle de faire un geste, mouvement, de ressentir un sentiment ou même de dire un mot alors l'homme doit l'accepté et honorer sont bon vouloir car la flemme est comme cette fleur qui pousse seule, solitaire et amère dans un coin du jardin, le temps est empris en elle comme la volonté des dieux.  

Hésitant il la serra contre lui avec délicatesse. Les yeux clos il humait la douce odeur de la jeune humaine. Il ne lui ferait pas de mal tout du moins pas pour le moment, il voulait juste profiter de cette instant de solitude et de calme.

Au bout d'un instant il se détacha d'elle et pris son visage en coupe. Le yeux dans ses yeux, il souriait avec tendresse. 


- Je ne t'aurais pas laisser faire, je suis plutôt du genre dure a cuire.


Il pouffa de rire les yeux luisant.

Elle regrettait que l’étreinte se soit déjà brisée, lorsqu’il lui avait rendu son étreinte elle était tellement heureuse. Elle le fixait à son tour hypnotisé par le regard de ce dernier et elle pouvait sentir qu’elle avait le visage en feu tellement la situation la perturbé. Même si elle ne comprenait toujours pas pourquoi elle avait eu se geste aussi spontané avec lui, d’habitude elle était du genre posée à contrôler le moindre de ses faits et gestes.

-Je ne sais pas ce qu’il m’a prit…

Sur le coup elle avait eu envie de dire qu’elle était désolée mais elle s’était stoppée avant… Elle se demandait pourquoi elle devrait s’excuser pour quelque chose qu’elle ne regrettait pas du tout. Elle n’était pas du genre à dire quelque chose qu’elle ne pensait pas, à la place de cela elle lui sourit doucement.

Ashiko passa une main dans sa chevelure dorée, gêné.

La situation était il y a cinq seconde chaleureuse mais elle c'était refroidie aussi vite. Déstabilisé, il rechercha une contenance, quelque chose a quoi se rattacher et c'est sa montre qui lui donna.

- Euh.. je suis désolé de mon impolitesse mais je dois me dépêché avant d'être en retard en cours.

Il se rapprocha de Lena et déposa un court baiser sur son front avant de partir a grande enjambé vers l'institut.