Tu es mon trésor, je serais ton pirate.[Alucard Lamia/Aria Solal]

Alucard la regarda sortir.

C'est son travail de plaire.

Cette idée que toute sa vie, des hommes la regarderons avec des idée déplacé ou même pire partagerons une dance avec elle et peux être même la toucherons, lui donnait la nausée. Il n'aimait pas du tout cette idée mais bon après tout c'est la vie quelle à choisi.

Il ne dit rien, ni fit rien. Il regarda le bois foncé de la table en attendant qu'elle revienne. Pourquoi  fait-elle que des allée-retour ?

"Aria..."

Aria s'était laissé glissé contre un mur, derrière un paravent en papier.

Elle griffait la feuille en la cassant parfois.

Elle se coupa sans le vouloir avec le papier.

Elle mit un coup de pied et regarda le paravent tombé dans un grand bruit.

Elle se releva et retourna dans la pièce principale avec un sourire figé.

Elle s'assit devant le garçon et commença à sucer son doigt pour enlever le sang.

Aria le regarda avec son sourire figé.

Elle lui tira le bras et lui agrippa la main.

-Désolée d'être comme ça!

Elle regarda dehors en parlant.

- Ne t'excuse pas de ce que tu es, je t'aime ainsi mon petit ange.

Il la regardait avec douceur.

Il cherchait a la caressé du regard, il aurait voulu la prendre dans ses bras et lui dire des chose magnifique pour la faire sourire. Mais il préféra gardé ses distance par peur qu'elle le regrette. A quoi bon jouer avec le feu ?

Elle s'était coupé par on ne s'est qu'elle situation, Alucard lui prit le doigt et lécha la petite goutte de sang qui si était formé.

- Fait attention, tu t'es coupé.

Aria retira son doigt presque aussi vite qu'il l'eut prit.

Elle lui lâcha aussi la main et elle se replia sur son siège.

Elle fit un signe à une serveuse de lui apporter à boire.

La dite serveuse revient avec une bouteille de saké.

Aria lui tendit une petite bourse en soie rose.

Elle l'ouvrit et commença à la boire directement.

-Je sais que je me suis coupé!

Elle lui parlait sèchement.

Elle soupira et posa sa tête entre ses bras, sur la table.

Elle chantonnait toute seule.

-Tu m’énerve Aria, à être comme ça... Normalement une geisha sourit à ses clients...

- Un client ? Tu me vois comme un client ?

Alucard explosa sa voix était dure et sèche.

Il s'était dressé sur ses jambes, en appuis sur ses deux mains. Il était vexer au plus profond de lui, elle avait touché sa corde sensible en dansant et maintenant elle jouait avec. Oh que c'est drôle comme passe temps !

Ahurie et sortir de ses gonds il ne pus retenir sa colère.

- L'autre bouffon m'a casser les couilles mais toi tu commence vraiment à me faire chier !

Il sortit du restaurant par peur de s'enfoncer encore plus dans sa colère et de faire ou de dire des choses qu'il regretterait par la suite. 
Il était assis sur les marches du perron du restaurant. Des larmes s'écoulaient sur ses joues, il avait honte de lui, honte d'avoir perdu son calme, honte de lui avoir dit les choses aussi brutalement et de lui avoir manqué de respect par la même occasion. Mais la vie n'accepté pas les erreur, le bouton effacé n'est que sur les claviers ou au pire il a la gomme mais dans la vie aucun retour en arrière n'est envisageable et même avec tout l'or et l'aide du monde jamais elle vous offrirait ce privilège.

Aria se redressa instantanément.

Elle sortit avec fracas et le vit assit sur le palier.

Elle le prit par le bras et le retourna vers elle.

-Non! Toi un client? Jamais!

Elle le prit dans ses bras.

-Sinon je ne t'aurais pas fait dessiner, je ne t'aurais pas laisser me mordre, je n'aurais même pas danser!

Elle se retira et remonta plus haut sur les marches.

-J'ai tenu beaucoup d'hommes. Je les tenait quand ils avaient trop but, quand je les accompagné dans les rues de Gion... C'était des clients...

Elle franchit la porte et le regarda encore.

-Et pour moi tu est au dessus d'eux... Tellement au dessus!

Aria sortit un mouchoir en soie blanche de ses manches.

Elle le posa sur une marche et elle rentra à l'intérieur.

Alucard regarda le mouchoir posé sur la petit marche en pierre.

il hésita a le touché, mais fini par faire glissé son doigt sur le fin tissu. Ce qui le faisait glissé et se replié sur lui même. Une larme coula le long de son font et retomba en un rond humide sur le mouchoir.

"Pardonne moi, mon ange..."

Il se leva et les mains dans les poches prit la direction de la plage.

Aria était resté derrière la porte.

Elle l'attendait.

Elle voulait le voir rentrer et la chercher du regard.

Mais elle l'avait entendu se lever et partir.

Donc elle était sortit.

Elle tapait nerveusement un rythme avec son éventail tout en le cherchant avec les yeux.

Elle le remarqua plus loin dans la rue.

Aria courut donc vers lui.

Elle l'attrapa par le dos.

Ses bras étaient autour de lui, pour le retenir.

Elle aurait voulu parler mais sa voix aurait été cassée et incertaine.

quand Alucard sentit les bras d'Aria l’enlacé, Il ne bougea pas, attendant une réaction venant de sa part. Il avait envie de la prendre dans ses bras et de la sentir contre lui mais il ne fit rien, non, il voulait voir et surtout savoir ce qu'elle pensait.

"Aria j'ai mal."

Aria aurait voulu crié mais elle pensa que ça serait mal prit.

Pourquoi il partait?

Il voulait la laisser seul?

Il voulait la laisser dans sa solitude?

Elle eut un hoquet, elle voulait pleurer mais elle se retenait.

-Tu veux partir? Tu veux me laisser seul pour un mot qui ne parlait pas de toi? Tu veux me laisser comme lui?

Elle enfouit sa tête dans son dos.

Sa voix était cassée comme elle l'avait prévu.

-Geisha... Gei ou art... Sha ou personne... Je ne suis pas une femme juste quelqu'un à qui on a donné un autre nom comme une poupée... La poupée doit sourire au monde même si elle hurle à l'intérieur...

Toute seule encore.

Elle parlait toute seule.

Aria laissa une petite larme coulée.

Alucard se retourna et la prit dans ses bras.

Non, il ne la laisserais pas seule, pas elle. Il posa sa tête contre le crâne froids d'Aria. Ce n'était pas un lâche mais il s'en voulait, il ne voulait pas la faire souffrir et encore moins la faire pleuré et pourtant c'est ce qu'il faisait. Au lieu de prendre sur lui même il a fallu qu'il explose et voila maintenant il est comme un con entrain de consolé celle qui jamais il voulait voir pleuré.

"Pardonne ma lâcheté..."

Il ne pouvait plus parlé, un trou béant avant fait place dans sa poitrine, il se sentait mal. Faire pleuré une femme, un geisha de sur fait et en plus la personne a qui il était attaché.

"Je suis qu'un imbécile incapable d'aimer correctement une femme."

Il aurait voulu lui enlevé son masque de geisha pour quelle puisse vivre sa vie de femme sans avoir une couverture ou un rôle à jouer? Il voulait la voir sourire de toute ses dents sans son maquillage, il voulait la voir courir sans peine, la sentir vibré sous ses muscle parce qu'elle à froids. Il voulait juste la voir vivante...

Aria essuya sa larme.

Elle n'en pleurerait surement pas d'autres.

Elle mit sa main sur le cœur d'Alucard.

-C'est fini... Je suis là... Je te pardonne... Tout va bien...

Elle parlait d'une voix rassurante et douce.

Elle pensait sérieusement à retourner au restaurant et enlever son kimono avec son maquillage.

Pour mettre des vêtements normaux.

Elle prit sa longue manche, faute de mouchoir, et essuya les larmes du garçon.

-L'ange n'aime pas te voir pleuré... Ça la rend triste!

Alucard sourit.

-Je n'aime voir l'ange voler avec les autres oiseaux...

Sa voix était calme et gentille.

Il la prit dans ses bras voulant la sentir entre ses bras, comme pour vérifier qu'elle était bien là. 

"Je t'aime Aria"

Aria sourit et se laissa faire.

-Alors si c'est comme ça l'ange n'ira pas voir les autres... Et elle demandera aux femmes de jouer du shamisen pour ses danses...

Elle se décolla de lui et lui sourit encore.

-On retourne au restaurant? Tu n'a pas payer!

- Serais je pris pour un voleur ?

Alucard lui sourit et lui prit la main.

- Très bien je veux bien être un voleur mais à la seule seule condition que ton coeur soit mon butin !

Il s'avança vers le restaurant pour tout de même payer, histoire qu'Aria n'ai pas de problème avec ses amis. Rendu sur le perron, il demanda à la jeune fille de l'attendre tendit que lui partait payer.

Aria se relâcha dès qu'il franchit la porte.

Elle rougit.

Elle ouvrit son éventail et commença à se faire du vent.

Elle se laissa glisser le long du mur.

Il l’aimait et ça lui crevait les yeux.

Et elle dans tout ça?

Peut être bien.

Elle soupira.

2 fois.

Aria avait donné son cœur deux fois.

Au vampire qui l'avait transformé et à l’empereur.

Le premier s'était trompé de personne et le deuxième ne l'avait épousé que pour sa célébrité.

Elle espérait ne pas se tromper encore.

Et si elle l'embrassait quand il reviendrait?

Alucard offrit un peu plus que la somme demandé, pour s'excusé d'être partie ainsi.

Et demanda au gérant si il n'avait pas une petite fleur à lui donné rose, marguerite ou même pâquerette. 

Il revient avec une tige de lilas mauves.

"On ne pouvait rêvé mieux."




il l'accepta non sans le remercier.

Rendu dehors, il passa ses bras autours de la taille d'Aria, se retrouvant ainsi derrière elle et la fleur devant ses yeux. Il s'approcha et lui chuchota :

- Tu sais ce qu'elle représente ?

Aria aurait bien rougit mais elle n'en fit rien.

Bien sûr qu'elle savait!

C'était une fleur d'amour.

Elle décida de faire l'ignorante.

-Non... Je sais que c'est du lilas mais pas autre chose...

Elle ne l'embrasserait pas.

Cette fleur était bien plus délicate que un baiser.

Alucard fut surpris.

C'était la première fois qu'elle lui mentait.

- Je vois que je ne suis pas le seul mal mentir.

Il passa devant-elle et détacha une petite fleur mauve du lot, il la posa avec délicatesse dans les cheveux d'aria.

- Voilà un petit ange bien décoré !

Le lilas avait une signification spécial, il représentait surtout une question :

"Aria m'aimes tu encore après ça ? J'en doute même je me battrais pour..."

Aria soupira intérieurement.

-Tu veux que je boive un verre?

Elle était très mal à l'aise.

Elle ne savait trop où poser son regard.

Même avec ses années de geisha, aucun homme n'avait poussé le bouchon aussi loin.

Enfin si, un seul mais ça datait de plus de trente ans.

Elle ouvrait et fermait son éventail nerveusement.

Elle s'appuya contre le mur.

Alucard rigola légèrement.

- Allez viens on vas marcher ça vas te détendre un peu...

Il commença à marcher l'attendant pour qu'elle soit à côté de lui.

Le jour avait laisser place à la nuit.

Les étoiles scintillaient comme des millions de diamants.

- Tu vois cette étoile là haut ? Celle qui brille plus que toute les autres.

Il parlait de l'étoile polaire.

Aria marcha vers lui.

Elle se tordit la nuque pour voir l'étoile.

-Oui je la vois... Pourquoi?

Elle parlait avec douceur.

Elle mit une main sous sa nuque.

Elle l'écoutait mais en même tant elle faisait face à un flot de questions que une seule résumée:

"Je sais que tu m'aime! Je ne vois que ça! Alors tu attend quoi?"

Alucard regardait l'étoile avec intensité.

- Quand j'étais enfants et que j'était enfermé dans le grenier, il y avait un petit trou dans le murs en bois et le soir quand il faisait nuit et froids je la regardais. Parfois, il m'ai arrivé de lui parler et de versé ma colère sur elle, mais chaque soir elle était là et chaque soir je la regardais.

Une fois son récit terminé, il avait les larmes au yeux.

- Mais après j'ai appris à regarder les autres étoiles qui se trouvait autour mais pour moi c'est elle qui brille le plus et le jour où elle périra, je serais là comme elle à été là pour moi.

Aria lui sourit avec douceur.

-Elle est patiente cette étoile!

Elle se glissa dans ses bras pour avoir un peu de chaleur.

Elle avait fermer les yeux.

Juste pour l'instant,ses questions avaient arrêter de l'envahir.

Elle le serra en s’accrochant au tissu.

-Pourquoi un lilas? Tu sais que c'est une fleur d'amour?

Pourquoi du lilas ?

Alucard sourit et lui caressa le dos gentiment.

- Tout d'abord parce qu'il n'y avait que ça comme fleur et deuxièmement parce que cette fleur résume bien la situation.

Cette réponse était ambiguë mais il voulait prendre son temps pour ne pas ce brûlé les ailes en quelque sorte.